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« Al-Faransi » signifiant « Français » en arabe.

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Meriem, quand elle se prénommait Marylise, vivait près de Nice (Alpes Maritimes). Elle a rencontré son mari, Nicolas, avant qu’il se prénomme Abou Farès, lors d’une grande fête de mariage chez des amis musulmans d’origine algérienne. Un imam les a approchés et ils sont devenus amis.

Aujourd’hui, à 29 ans, elle attend ses trois enfants à la porte d’une école primaire de Blida en Algérie, recouverte d’un voile intégral et porte des gants.

Laissons Meriem s’exprimer : « Nicolas m’a annoncé sa conversion à la religion musulmane et, comme je n’ai pas montré de réticence, il m’a présenté des « sœurs » pour que j’ai une meilleure connaissance de l’islam et apprendre la langue arabe. Nos familles se sont opposées à notre mariage et surtout à notre projet de nous installer en Algérie. Mon père nous a même signalé à la police car, à son avis, mon mari avait des intentions douteuses. »

Meriem n’a plus de contact avec sa famille depuis des années et n’est plus revenue en France.

Son mari, est en prison depuis plus d’un an. Accusé d’avoir caché des terroristes recherchés, des armes et d’avoir participé à des transmissions via les réseaux sociaux et un site internet Daech.

En attendant sa sortie, qu’elle espère prochaine, Meriem travaille dans une administration algérienne et son voile intégrale n’a pas été un obstacle malgré quelques regards inquisiteurs : « Mais ce n’est pas comme en France, dit-elle, ici je suis libre de mes mouvements et j’attends la libération de mon époux. Il n’a rien fait de mal si ce n’est que d’aider des frères convaincus par une cause juste et noble que nous a dictée Allah ! ».

Mathieu, lui, est devenu Moussa, par rejet de la culture occidentale, et a rejoint les maquis terroristes dans la région de Bouira et il y a de fortes présomptions qu’il fasse partie des récentes victimes des opérations que mène actuellement l’Armée Nationale Populaire. (Source El Watan)

Parmi les 800 « volontaires » qui ont rejoint Daech et l’Etat Islamique plus d’une centaine sont déjà morts et 260 environ auraient quitté les territoires en guerre et seraient de retour en occident, certains infiltrés parmi les « migrants », comme cela est désormais officialisé par diverses sources des plus fiables.

Le retour de ces « combattants » est considéré comme le principal facteur de risques d’attentats sur le sol français.

Les « volontaires » Français sont les plus exposés dans les combats et les attentats car ils doivent prouver leur engagement total, leur foi, davantage que les « vrais » musulmans, et faire le don de leur vie pour la plus grande gloire d’Allah !

N’est-ce pas deux « héros » français qui seraient les « kamikazes » des récents attentats suicides près de la ville d’Aditha, dans l’ouest de l’Irak ?

Abou Maryam Al-Faransi et Abou Abdoul Aziz Al-Faransi ont lancé des camions bourrés d’explosifs, le premier contre le quartier général et le second contre une caserne de renégats.

« Al-Faransi » signifiant « Français » en arabe.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2015/...