Il n’y a pas de fin qui n’ait aucune suite :
Ainsi pour mon décès combien donc de poursuites
Faudra-il exercer de l’administration
Pour mettre enfin au clair les droits de succession ?
Ainsi pour le PS, lequel est rétamé
Après cette défaite au goût de vieux paumés !
On voit Cambadélis remonter au créneau
Pour mettre la pagaille dans le landerneau.
Quand le mot est écrit, on cherche encor la suite
Et tout devient alors une course-poursuite,
Chacun veut rattraper ce qui a échappé
A une vigilance qui l’a écharpé.
Toute fin appelle à un recommencement,
En quoi nos socialos font du remaniement…
Valls pourra-t-il changer alors de caractère
Avant d’être brûlé vif dans quelque cratère ?
Et Hollande, le pauvre, aura-t-il pris conscience
Qu’il a bien trop usé de nos vaines patiences ?
Quand tintinnabule la fin des haricots,
Qu’on se laisse bouffer par quelques asticots. (30/03/15)