J’avais écrit « Palestiniens et Israéliens, ce n’est pas pour demain », en juin 2010, à l’occasion du blocus de Gaza par la marine israélienne. La décision de Donald Trump d’installer l’ambassade américaine à Jérusalem semble prouver, toute modestie mise à part, que son conseiller pour le Moyen-Orient a dû me lire.