Un président de la république, un premier ministre, un gouvernement « sans-couilles » (Désolé d’être vulgaire mais je ne trouve pas de mot assez puissant pour définir l’attitude irresponsable de tous ceux qui nous gouvernent actuellement et en référence aux « sans-dents »).

Face à des syndicats, à un syndicat surtout, la CGT, qui a la partie belle à quelques jours d’un évènement comme l’Euro de football, et qui savent que ces pantins vont céder, comme ils viennent de le faire à la SNCF.

Une CGT qui prend la France et les Français en otage à un moment où la situation économique, déjà difficile, se complique avec des inondations et un climat détestable et qui va coûter plusieurs milliards.

Et parmi ces Français, (« des veaux » comme le disait de Gaulle) certains, nombreux, qui apportent leur obole (plus de 250.000 euros) à la cagnotte de la CGT et des grévistes. Ignorent-ils que ces grévistes vont être payés, soit par un accord obligatoire avec le patronat, pour la reprise du travail, soit directement par la CGT, grâce à son financement pâr l’Etat et par les contribuables, donc par nous.

Oui, un gouvernement « sans-couilles » où l’on n’entend plus le ton martial et coléreux d’un Manuel Valls, ou celui monocorde et mielleux d’un Cazeneuve.

N’y a-t-il pas des décisions héroïques à prendre, justement parce que les grévistes et la CGT ont déclaré la guerre à la France ?

*Etat d’urgence = interdiction de grèves

*Licenciement de tous les fonctionnaires en grèves contre une loi-travail qui ne les concerne en rien et profiter de l’occasion pour supprimer le statut de "fonctionnaire".

*Licenciement de tous les employés en grève des collectivités locales.

*Réquisition des éboueurs et licenciement immédiat des récalcitrants.

*Appel à l’armée pour le ramassage des ordures (cela s’est déjà fait et se refera)

*Mobilisation des six millions de chomeurs susceptibles de remplacer les grévistes. Ne sont-ils pas payés pour ne rien faire ? Donnons-leur du travail.

Ces syndiqués, et ceux qui ne le sont pas mais participent au mouvement, ne sont pas des patriotes. Ils ne sont pas dignes de ce pays où ils peuvent vivre dans des conditions que des milliards d’êtres humains, sur notre terre, leur envient : ceux qui meurent de soif, ceux qui meurent de faim, de manque d’hygiène et de soins, ceux qui fuient leurs pays en guerre pour ne pas être massacrés.

Un jour ce sera à cause de ces « voyous » et des « sans-couilles » qui nous gouvernent, qu’un dictateur, une main de fer, un « sans-dents » peut-être, surgira pour mettre de l’ordre et de la loi, dans ce pays qui part à « vau-l’eau ».