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Ramdam, pas d’amalgame, fraternité !

, par  NEMO , popularité : 7%
NJ-Ile de France

N’attendez pas de ceux qui nous serinent depuis des lustres que l’Islam serait compatible avec la France, ses valeurs républicaines et son droit de l’hommisme cucul, qu’ils aient changé d’avis depuis le massacre de vendredi 13. S’il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, ces gens-là, hélas, ne sont pas muets, et, après la stupeur des attentats, ils reprennent avec encore plus de suffisance leur croisade vers la soumission.

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Nous ne nous arrêterons pas pour une fois à l’Islamisme, qui serait une « déviance criminelle », - comme les mêmes nous avaient fait croire que le Stalinisme, le Maoïsme ou le Pol Potisme étaient des versions dégénérées du communisme -, mais à l’Islam "normal", tel qu’on peut en observer tous les jours les pratiques. L’Islam d’aujourd’hui, en France et dans le monde, quand bien même les 99% de musulmans pacifiques le souhaiteraient-ils, n’est pas plus une religion « pâte à modeler » que le Christianisme, le Judaïsme ou le bouddhisme. D’autant plus que le Coran, contrairement à la Bible, est incréé : il est la transcription fidèle de la parole de Dieu que les musulmans doivent réciter en arabe, même s’ils ne comprennent pas la langue, parce c’est en arabe qu’Allah, par l’intermédiaire de l’ange Gabriel, a dicté à Mahomet ses volontés. Le Coran n’est ni adaptable, ni « contextualisable », ni interprétable, pas plus d’ailleurs, si l’on veut être honnête, que les Évangiles, paroles du Christ, pour les chrétiens… Sauf que, et ce n’est pas un détail, à l’exception de l’épisode des marchands du Temple, dont usent et abusent les contempteurs du christianisme, Jésus, que je sache, a toujours prêché la paix et rejeté la violence, ce qui est loin d’être le cas de Mahomet.

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Alors il faut dire la vérité : la France s’est construite avec le Christianisme, pas avec l’Islam. Sans porter de jugement de valeur, l’identité nationale ne peut être à la fois fondée sur le Christianisme et sur l’Islam, pas parce que l’Islam serait inférieur ou supérieur, mais parce que l’Islam remet en cause certaines valeurs fondamentales du Christianisme… Ce que les pays d’Islam ont bien compris, puisqu’ils s’efforcent de chasser de leur terre tous les « infidèles ».
Si les Français acceptent qu’il y ait un Islam en France (et pas de France), il ne faut pas rêver : ce n’est pas l’Islam qui s’adaptera aux valeurs fondamentales de la France, parce que c’est impossible. Alors, de deux choses l’une : ou bien on laisse se créer en France des territoires où les musulmans vivront comme bon leur semble, avec leurs propres lois, leur propre police et leur propre justice, - mais en bénéficiant bien entendu de tous les avantages de la vie en France, allocations, soins gratuits, madrasas financées par l’Education Nationale…, et d’où les non-musulmans seront exfiltrés (ce n’est déjà plus une fiction).
Ou bien c’est la France laïcarde, reniant ses valeurs chrétiennes, qui se soumettra à l’Islam. Et, pour commencer par le commencement, il nous faudra changer notre devise, symbole éculé du mythe national, « liberté, égalité, fraternité ».

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Parce que la liberté de conscience, si chère à nos droits de l’hommistes, est parfaitement inconnue dans le monde musulman. Le musulman est « soumis à Dieu ». Pour un musulman, Allah est tout et dans tout. L’Islam ne reprend pas, comme dans le christianisme, cette idée fondamentale de séparation entre « ce qui appartient à César » et « ce qui appartient à Dieu », qui a permis au monde occidental chrétien de concevoir la laïcité. La laïcité, la liberté, la démocratie même, sont inconcevables chez les musulmans.

Kif kif pour « l’égalité ». Pour l’Islam, il y a la « Dar el Islam », là où règne Allah, et la « Dar el Arb », là où l’Islam ne règne pas encore, et qu’il faut soumettre. Un chrétien, un juif ou, pire, un athée, ne peut être ontologiquement l’égal d’un musulman. C’est pourquoi dans la « Maison de l’Islam », les « dhimmis », lorsqu’ils sont tolérés, paient un impôt particulier, doivent se plier aux préceptes islamiques comme le ramadan ou l’interdiction de boire de l’alcool…

Quant à la fraternité, cela, au moins, ne poserait pas un trop gros problème. On pourrait même la conserver dans notre nouvelle devise, qui pourrait être « ramdam, pas d’amalgam, fra-ter-ni-té ». Parce que la fraternité entre les Français, il y a belle lurette qu’elle ne s’épanouit que dans les cerveaux embrumés de nos élites boboïsantes, cadenassées dans leur tour d’ivoire.

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Après, il n’y aura plus qu’à dérouler la charia pour ne pas heurter nos concitoyens musulmans dans leurs croyances les plus profondes : plus de musique, plus d’alcool, plus de cinéma, plus de femmes en jupe, plus de vacances au soleil, plus de charcuterie, plus de symboles chrétiens ou juifs, plus de laïcs, plus de crèches…
Une bonne nouvelle, quand même : avec l’Islam, adieu le mariage pour tous, la GPA, la PMA, les mannequins anorexiques, les féministes, le rap, les grèves de la SNCF, les socialistes, les dealers et les boudins en mini short bas résilles.