Le FN devient le premier parti de France,
Le pays sort enfin de sa désespérance :
Les autres ne savent plus comment déguiser
Une défaite dont ils sont ratiboisés.
Et l’insulte devient leur ultime recours :
On a vu Estrosi, souffle devenu court,
De diatribes indignes d’un républicain
Vilipender Marine en impuissant faquin.
Et les voilà soudain, comme pris de vertiges,
Fragiles oisillons secoués sur leur tige :
La tempête annoncée dévaste leur projet,
Les voilà sanctionnés d’être encor hors-sujet.
On les aura tous vus sans cesse piétiner
Sans savoir désigner notre ennemi inné :
A nos portes l’islam qui nous a étrillés
Définitivement sera bien verrouillé.
Le myopie de nos chers et tendres socialos
Nous avait serinés de tous leurs trémolos :
La cata sera donc évitée de justesse,
Il est temps d’agir avec quelque robustesse. (6/12/15)