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Qui aura les "couilles" pour appliquer ces décisions ?

, par  Manuel Gomez , popularité : 3%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Non, nous ne sommes pas, pour le moment, au bord d’une guerre civile. Une guerre civile c’est quand la population d’un pays s’affronte pour des idéologies différentes ou pour un changement de gouvernement. Ce fut le cas, par exemple, lors de la guerre en Espagne entre 1936 et 1939 ou, pour rester chez nous, la naissance de la République et la « Commune ». Or ce n’est pas un cas identique actuellement en France. Notre pays est attaqué par des EFI (Ennemis Français de l’Intérieur), c’est-à-dire par des personnes d’origines étrangères qui ont obtenus la naturalisation française uniquement pour des raisons financières mais qui haïssent la France et veulent la « coloniser ».

Cette situation peut devenir une « guerre civile » si les islamo-gauchistes de LFI, les partisans de Mélenchon, rejoignent les rangs des ces EFI.

Contrairement aux affirmations ridicules de François Hollande, ce ne sont pas les 4e,5e ou 6e générations des premiers migrants qui alimentent les émeutes qui se reproduisent en France depuis deux ou trois décennies, mais, effectivement, les générations produites annuellement par les migrants qui pénètrent et demeurent sur notre territoire illégalement et « Ils » seront de plus en plus nombreux dans les prochaines décennies.

Que l’on ne s’émeuve pas trop : ils ont brûlé, ils ont détruit, ils ont volé mais ils vont se calmer avant de recommencer et rien de sera entrepris pour éviter que cela se reproduise…à moins que ?

Une de ces racailles a tiré avec une arme à feu sur un policier à Nîmes (Gard). Il a été sauvé par son gilet pare-balles. Dans un pareil cas il y a légitime défense et la police aurait dû riposter mais « les ordres sont de ne pas tirer ».

Ce n’est pas avec de tels ordres que l’on gagne « une guerre ».

La question qui est posée est : « Mais quelle est la solution ? ».

Retrouver sa pleine souveraineté, au-delà des ordres de l’Union Européenne et des recommandations des « Droits de l’homme ».

- Suppression du « Droit du sol ».

- Expulsion immédiate de tous les OQTF, des demandeurs d’asile rejetés et des migrants illégaux, qu’ils soient mineurs ou adultes.

- Déchéance de nationalité dès la première récidive sur le casier judiciaire.

- Etranger condamné, expulsion immédiate.

- Français relégué dans un bagne hors de la métropole dès une condamnation à plus de dix années de prison.

Ils sont quelques-uns à proposer toutes ou certaines de ces décisions, mais qui aura les « couilles » pour les appliquer, ces décisions, « une fois élu » ?

Il paraît que certains pays refusent de reprendre leurs ressortissants, qu’ils soient OQTF, condamnés et demandeur d’asile rejeté. Une réponse s’impose : « plus un seul visa accordé pour ce pays ».

Puisque le gouvernement algérien, dans un communiqué officiel, nous explique que tous les Français d’origine algérienne « accueillis par la France » doivent être considérés comme des « ressortissants algériens », qu’il veuille bien nous expliquer les raisons qui empêchent « leur retour dans leur pays » sollicité par les Français ?

Il est souvent question, au cours des évènements qui se déroulent actuellement, de ces mineurs de plus en plus jeunes, moins de 17 ans, qui participent aux émeutes, aux vols, aux attaques contre les forces de l’ordre. Bien entendu on accuse l’éducation, l’instruction, le manque d’autorité parentale, etc. Ce ne sont que de belles phrases qui n’apportent aucune solution dans l’immédiat. Ils représentent environ 30% de la racaille qui casse, qui brûle et qui, peut-être un jour, fera feu avec arme sur les policiers et ce sera l’escalade fatale.

Il n’est pas question de les mettre en prison où ils seront pris en mains, radicalisés et récidiveront (plus de 40% des condamnés à la prison récidivent).

Les parents ne peuvent rien contre ces jeunes voyous, l’école non plus, l’instruction n’en parlons pas quant à l’éducation « ils ne savent même pas de quoi il s’agit ! ».

Je me souviens d’un évènement qui s’est déroulé durant la guerre d’Algérie : quelques dizaines de jeunes communistes, d’extrême-gauchiste, etc. refusaient d’être « appelés » par l’armée et d’aller se battre contre les Arabes qu’ils considéraient comme des « patriotes ». J’avais fait à l’époque un reportage sur le quotidien « La Dépêche d’Algérie » car, ces quelques dizaines d’opposant à la guerre avaient été dirigés directement vers la 10e Division Parachutiste, sous les ordres du colonel Bigeard. Trois mois plus tard, après un sévère entraînement, à balles réelles, ces quelques dizaines étaient devenus parmi les meilleurs combattants de la 10e DP et participé pleinement à « La bataille d’Alger » contre les terroristes de la Casbah.

Je pense que la seule solution, pour ces jeunes de moins de 17 ans qui ont tant envie d’en découdre, serait de les embrigader dans des Centres de rééducation militaire, encadrés par les parachutistes : Debout à 6 h du mat, salut aux couleurs, sport, instruction, etc. et cela jusqu’à leur dix-huitième année. Je suis persuadé qu’une majorité pourrait ainsi être récupérée.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2023/...