Nous avions eu droit à l’illustre et mémorable « Je vous ai compris » et, tout récemment, nous avons eu droit, à bien des niveaux inférieurs bien sûr, au « Vous ne m’avez pas compris », du politologue Roland Cayrol, dans sa lettre de « repentance » adressée à tous ceux qui ne l’avez pas compris, suite à sa (...)