De notre liberté ils nous auront privés,
Ils sont maîtres chez nous, ils nous ont abreuvés
De leurs sourates et de leurs comportements
Pour lesquels il faudrait que nous soyons cléments.

Ils nous ont imposé leur loi de leur racaille
En tissant leur filet toujours maille après maille,
"Le bruit et les odeurs", comme disait Chirac
Épandant leur semence encore tout à trac.

Ils ont érigé partout leurs hauts minarets
Étouffant les cloches d’églises dans leurs rets,
Ils prêchent la charia devant nos gouvernants
Qui demeurent bien sourds et toujours hibernant.

Ils ont phagocyté les espaces publics :
Il n’y aura jamais hélas assez de flics
Pour les en déloger et enfin balayer
Les places et les lieux qu’ils se sont octroyés.

Si nos politiciens ont bien baissé les bras,
Les voici les ouvrant pour leur électorat :
Il faut bien l’allécher par quelques avancées,
Ils y trouveront à la fin leur panacée. (6/09/16)