Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Nos retraites sont liées à l’immigration "illégale et clandestine".

, par  Manuel Gomez , popularité : 3%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Article publié 13 aout 2023

Dans un très récent article sur Riposte Laïque j’écrivais :

« Il faut que cela soit dit, que cela se sache, car on nous le dissimule volontairement : l’immigration est une décision indispensable et nécessaire pour maintenir l’équilibre du système actuel des retraites.

Il s’agit là de l’une des raisons principales qui interdit à la majorité des gouvernements des nations européennes de mettre un terme à l’invasion illégale et clandestine du continent européen par des migrants extra-européens. Ce qui explique la passivité quasi générale contre les mafias de passeurs, les pays et les ONG complices, mais également le « silence » sur le nombre de ces milliers de malheureux « nouveaux esclaves » qui disparaissent en Méditerranée, en Atlantique ou dans le désert Saharien.

Bien avant 2050 le nombre d’étrangers « en âge de travailler » devrait obligatoirement doubler et cela est difficilement acceptable dans les conditions d’immigration actuelle « car ce serait la destruction totale des structures européennes ».

Et je terminais cet article par la prévision suivante : « Puisque les retraites de notre future jeunesse risquent de ne pas être payées, toute la population européenne sera inévitablement « métissée » d’ici un siècle ou, pour entendre le prédicateur LFI Mélenchon, « créolisée ».

Quelques explications me paraissent nécessaires puisque cette conclusion est inévitable !

Les réformes concernant « la retraite », une majorité de Français est contre. Pourquoi ? Parce qu’elle ne la comprend pas et c’est tout à fait normal : comment pourrait-elle la comprendre avec un Président de la république « qui dit tout et son contraire » et un gouvernement totalement à côté de la plaque.

Expliquons tout d’abord pourquoi, en 1946, les dirigeants de l’époque avaient adopté le système par répartition ? Il y avait environ 2 millions de salariés qui étaient partis en retraite sans rien percevoir, puisqu’ils n’avaient pas cotisé. Il fallait donc que les nouveaux « Actifs » cotisent afin de payer la retraite de ces salariés.

Cela a parfaitement fonctionné durant des décennies puisque 5 actifs cotisaient pour payer la retraite d’un « Partant ». Mais, quelques décennies plus tard, et cela à cause d’une démographie en baisse continuellement et d’une industrialisation en grande partie disparue, ces 5 actifs sont devenus 4 puis 3 et en 2022 1,7. Ce système de retraite par répartition est donc en « faillite » et il est absolument nécessaire « non pas de le réformer », car cela ne changera pas le destin final, mais de le transformer totalement. C’est-à-dire en terminer avec ce système par répartition et instaurer un système « par points » uniquement.

Le salarié doit savoir, quand il le souhaite, à quelle retraite il a droit et cela il ne peut le savoir réellement que grâce aux « Points » qui lui sont attribués annuellement.

Donc « le salarié cotise pour « lui » et non plus pour les « autres ». Il peut donc prendre sa retraite quand il le souhaite « à la somme qui lui est due ».

Ce n’est d’ailleurs pas une innovation puisque le système de retraite calculé depuis des décennies par l’AGIRC-ARRCO » est identique et fonctionne parfaitement, et même avec d’importants bénéfices.

Emmanuelle Macron avait, lors de son premier quinquennat, développer son intention d’appliquer ce « système par points » et cela était une excellente initiative. Pourquoi a-t-elle été rejetée par l’ensemble des syndicats ? Par peur, évidemment, que le prix du « POINT » soit décidé par le gouvernement et donc avec la possibilité d’être « augmenté » (pas souvent) mais également « diminué » (plus souvent). C’était une sage précaution. Mais il aurait suffi qu’il soit soumis au même calcul que celui de l’Agirc-Arrco (1,3498 E depuis 2022) ou identifié à un indice « indépendant d’un quelconque gouvernement »

Ce jour-là l’ensemble des syndicats a manqué de réalisme en repoussant ce changement total du « projet retraite par point » et le Président et son gouvernement ont démissionné, comme ils démissionnent sur bien d’autres décisions vitales pour l’avenir de la France.

Que l’Union Européenne et la France également poursuivent cette politique « indispensable » (selon elles) d’immigration non contrôlée et illégale « et soient responsables des milliers de morts disparus en mer et la finalité ne fait aucun doute…comme nous l’avons écrit plus haut !

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2023/...