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Le déni permanent.

, par  NEMO , popularité : 4%
NJ-Ile de France

Vous croyez qu’ils ont ouvert les yeux, que plus rien ne sera comme avant, qu’ils vont accepter de voir ce qu’ils voient et agir enfin ? Naïfs que vous êtes ! Ils ne changeront rien, parce qu’ils ne reconnaîtront jamais qu’ils sont responsables (et coupables) du merdier dans lequel nous nous sommes laissé plonger (pas tout-à-fait jusqu’au cou, pour laisser de la place au couteau) !

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Ces derniers jours, l’une de nos plus hautes éminences vivrensemblistes a fait son « coming out » vivrensemblo-sceptique. J’ai nommé Alain Juppé, qu’on ne présente plus, l’auteur de l’inoubliable roman de fiction « l’Identité heureuse ».

Voilà ce que Juppé vient de déclarer dans un entretien à Radio J, au journaliste Frédéric Haziza, Zemmourophobe et islamophile bien connu, et lui-même tout aussi vivrensembliste que son invité. Tenez-vous bien, ça va secouer : « Est-ce qu’il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ? Je veux encore le croire. Parce que si la réponse est non à cette question, cela veut dire qu’il y a 4 à 5 millions de Français musulmans qui n’ont pas la place chez nous. Et on ne peut pas l’accepter ». Passons sur le fait que Juppé minimise autant qu’il peut le problème (mais pas trop, il faut que ça reste vraisemblable), en ne recensant « que » 4 à 5 millions de Français musulmans », alors qu’ils seraient plutôt 6 millions, et en oubliant, sans doute pour ne pas affoler encore plus les populations souchiennes déjà suffisamment traumatisées par les couteaux fous et les déséquilibrés ayant oublié de prendre leurs médicaments, de comptabiliser les musulmans étrangers qui, réguliers ou clandestins, séjournent à demeure dans notre beau pays de kouffars. Auxquels s’ajoutent les centaines de milliers de migrants qui nous arrivent chaque année du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne en chantant la Marseillaise.

Juppé, et tous ses pareils qui n’ont voulu ni voir ni empêcher cette invasion mortifère, commenceraient à se poser des questions, dites-donc ! Il était temps, depuis 30 ans et plus que des complotistes d’extrême-droite alertent sur le phénomène. Parce que s’ils avaient voulu voir la réalité, ils en auraient conclu, comme les parias qu’ils ont voué aux gémonies, que l’Islam était ontologiquement incompatible avec non pas la République Française, ce qui ne veut rien dire, mais avec toute forme d’existence qui ne se soumettrait pas à Allah. La question que nous nous posons, nous les petits, les obscurs, les contribuables, les sans-dents, les déplorables, les Français pas seulement de papiers, est « pourquoi nos élites intellectuelles, si arrogantes, si péremptoires, si omniscientes, si méprisantes, ont-elles refusé de traiter le problème quand il en était encore temps ? Comment ont-elles pu ne pas voir que partout où l’Islam s’installe, partout où il est dominant, il devient exclusif et ne tolère que dhimmis (juifs, chrétiens), et esclaves (les Noirs en général) pour autant que ses fidèles ont besoin de serviteurs pendant qu’ils sont occupés à prier, à faire le djihad et à engrosser leurs épouses pour la gloire d’Allah ? Comment, pour satisfaire des intérêts économiques à courte vue, maquillés en humanisme dégoulinant, ont-elles pu laisser entrer tant de loups dans une France transformée en bergerie par des lois droits de l’hommistes et un matraquage médiatique qui culpabilise toute résistance ?

Juppé termine sa péroraison par « et cela, on ne peut pas l’accepter ». Il ne peut pas accepter quoi ? Mais de reconnaître qu’il y a d’ores et déjà en France 8 à 10 millions de de nos « concitoyens » qui, par conviction ou plus ou moins forcés de suivre le mouvement (il suffit de consulter le dernier sondage qui accorde près de 20% d’intentions de vote à Mélenchon si les élections présidentielles avaient lieu maintenant), n’hésiteront pas le moment venu à se retourner contre leurs « compatriotes » chrétiens, juifs, libre-penseurs et autres idiots utiles dont ils n’auront plus besoin. Le hic, monsieur Juppé, c’est qu’ils sont là et bien là, ces millions de musulmans, et ils ne sont pas près de s’en aller. Et comme vous et vos semblables êtes parfaitement conscients d’avoir entraîné par votre aveuglement et votre pusillanimité la France dans l’abîme, mais que vous ne voulez pas endosser une responsabilité trop lourde pour vos épaules de soumis (encore que vous n’avez jamais refusé les avantages que vous donnait un pouvoir que vous n’avez pas eu le courage d’exercer), vous préférez vous persuader que seule une minorité infime de musulmans extrémistes pourrait poser un problème, que l’immensité des musulmans veut vivre en paix et en harmonie avec les chrétiens, les juifs, les bouddhistes, sans oublier les adorateurs du concombre, et que tout finira par s’arranger... Ben voyons.

Juppé ne démissionnera pas du Conseil Constitutionnel – 10.000 euros par mois, c’est toujours bon à prendre. Il ne fera pas de mea culpa, il ne se couvrira pas la tête de cendres (il devrait, ça cacherait sa calvitie). Si ça se trouve, il va nous pondre un livre qui se vendra à 200 exemplaires pour expliquer que si ces crétins de Français l’avaient élu président de la République au lieu de le jeter comme une chaussette trouée, on aurait vu ce qu’on aurait vu. Et quand il mourra, on lui fera des funérailles nationales… A condition qu’il meure avant que l’Islam ne prenne le pouvoir en France, auquel cas il aurait droit à un enterrement vite fait dans la journée, selon la tradition musulmane.

Au fait, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais lorsque les médias et autres intervenants de plateaux cherchent des points de comparaison avec les massacres immondes du Hamas, ils font référence aux talibans, aux nazis, mais, curieusement, ils oublient le FLN…et le GIA. Savez-vous que les imams expliquaient aux fellaghas et aux égorgeurs du GIA, qui n’étaient pas très enthousiastes à l’idée d’immoler des bébés, qu’ils faisaient en définitive une bonne et sainte action, parce que les enfants, trop jeunes pour avoir pu déplaire à Allah, allaient tout droit au Paradis.