Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

LECTURE

, par  Ali BouBou ✞ , popularité : 8%

Je suis toujours content de le lire, Attali*,
Car il n’est guère obscur et les portes ouvertes,
Il les enfonce sans jamais donner l’alerte,
Ce qu’il écrit, jamais n’est un casus belli.

"Que le film disparaisse, il fait place aux séries",
Que l’on repasse sans aller au cinéma,
On les voit sur l’ordi et sous tous les climats,
Et soit que l’on en pleure ou soit que l’on en rit.

Car "le cinéma nous parle bien de nous-mêmes,
De nos ambitions, de nos amours, de nos peines",
De toutes serrures reste ouvert chaque pêne,
Et par là chacun trouve le goût de soi-même.

Il peut être conçu comme une distraction :
Charlot nous a fait rire, oh ! Et combien de temps…
Que n’advienne d’un coup et dans pas si longtemps
L’image d’un racisme comme expiation !

Car c’en serait fini des grandeurs du ciné :
Il s’en mordrait les doigts, notre brave Jacquot,
Quand d’autres chanteraient de beaux cocoricos,
Et quand notre humaniste en serait bien sonné. (24/05/16)

*L’Express n°3385

Navigation



TWITTER semble avoir bloqué certaines diffusions, il n'y aucun tweet pour l'instant.