Arrêtons de nous désoler de la déferlante d’abayas qui envahit notre continent. C’est bien au contraire une bénédiction pour la survie de notre civilisation occidentale !

Vous avez peut-être lu le roman de H.G. Wells, « la Guerre des Mondes », ou, au moins, vous en avez entendu parler ou vu l’un des nombreux films et séries qui s’en sont inspirés ? Dans cette œuvre d’anticipation, une civilisation extra-terrestre disposant d’une technologie infiniment supérieure à la nôtre se met en tête de détruire l’humanité et de s’emparer des ressources de la Terre. Contre une telle puissance, nos armes nucléaires, bombes, chars d’assaut, porte-avions, missiles et prières s’avèrent parfaitement impuissants. Pourtant ce sont les Terriens qui vont gagner, grâce à de microscopiques alliés, les virus avec lesquels nous cohabitons harmonieusement depuis des milliers d’années. Les virus contre lesquels les extra-terrestres étaient totalement désarmés.

C’est en lisant un article sur le retour en fanfare du rachitisme dans les pays du Nord de l’Europe que le rapprochement avec le roman de Wells m’est venu. Le rachitisme, c’est le manque de vitamine D chez les enfants, provoqué par une sous-exposition au soleil de la génitrice. Il se traduit par des douleurs osseuses, des douleurs et faiblesses musculaires, des jambes arquées, les os du crâne ramollis, et autres symptômes tous plus handicapants les uns que les autres. L’article ne s’aventurait pas jusqu’à faire un parallèle entre le rachitisme constaté et l’origine des malades, mais on peut se faire une petite idée de la chose…

Vous voyez où je veux en venir ? J’ai écrit la semaine dernière que l’abaya n’était pas une tenue cultuelle, mais l’uniforme d’une armée d’aliens. Et si cet uniforme était le virus qui allait contaminer et vaincre nos envahisseurs ? Imaginez des femmes qui, vivant en occident, dans des pays où le climat n’est pas celui de l’Arabie Saoudite, et en plus bâchées de pied-en-cap, ne sortant presque jamais de chez elles, n’exposeraient pas même un cm2 de leur peau aux bienfaits du soleil. Je ne vous dis pas à quel point elles seraient elles-mêmes victimes de graves carences en vitamine D. En conséquence, en plus d’une natalité qui s’effondrerait, les futurs « guerriers » qui survivraient à une grossesse compliquée seraient à tout coup débiles et rachitiques. La prophétie de Boumediene à l’ONU selon laquelle les Arabes conquerraient l’Europe avec le ventre de leurs femmes s’effondrerait. Tenez, revenons, juste pour le plaisir, avec le prisme du rachitisme, sur les « incivilités » qui émaillent les rubriques de faits divers de nos bons médias : des racailles aux os du crâne ramolli, aux jambes arquées, handicapés par des douleurs osseuses et musculaires, qui, même en s’y mettant à 10 pour piquer le porte-monnaie d’une petite vieille, se prendraient une raclée par la mémé vitaminée, retour d’un été à la plage où elle s’est fait bronzer en string et seins nus. De quoi être dégoûté, non ? Et de là à envisager de quitter ces contrées si peu accueillantes pour des cieux plus favorables…

Allez, il faut bien rire un peu dans ce monde de dingues, où deux zigotos peuvent battre à mort un bonhomme qui a osé leur dire d’arrêter de faire les zouaves avec leur moto au milieu des clients d’un centre commercial, et se retrouver en liberté quelques heures après leur interpellation par la police.