J’étais à La Rochelle et j’en suis sorti vivant.
C’était pire qu’en Irak ou en Syrie, ou encore en Ukraine.
Ca tirait de tous les côtés, à l’arme lourde. Il ne manquait que les frappes aériennes made in USA.
Et au milieu de ce front où s’opposaient à balles réelles les ennemis d’hier, d’aujourd’hui et (...)