Au cours de son séjour en prison il avait participé à un programme de « déradicalisation » et, comme il s’était montré particulièrement « intéresser », il avait bénéficié, le 5 décembre, d’une libération conditionnelle : « Il a récidivé ».
Il avait violé et assassiné une adolescente de 16 ans. Condamné à 22 ans de prison il avait été libéré 15 ans après : « Il a récidivé ».
Il avait été condamné à 8 ans de prison pour plusieurs vols avec violences. Il avait été libéré 5 ans plus tard : « Il a récidivé ».
Nous assistons régulièrement à ce genre de scénarios. Les juges condamnent à une peine de prison « qui devrait être exécutée intégralement » car les lois sont faites pour nous protéger et non pas pour protéger les criminels, les délinquants, les violeurs : « Plus de remise de peine ».
50% des délinquances, crimes, agressions, viols, attentats, vols, etc. sont commis par des « récidivistes »
37% des délinquances, crimes, agressions, viols, attentats, vols, etc. sont commis par des « OQTF » (Obligation de Quitter le Territoire Français) qui sont toujours « chez nous » et quelquefois depuis des années !
Tous ces « récidivistes » représentent un danger permanent dès qu’ils retrouvent leur liberté : « Ils ne doivent pas rester en France ».
Les solutions existent pour nous préserver de tous ces « Dangers pour la France » :
*Si ce sont des étrangers, ils doivent être expulsés immédiatement.
*Si ce sont des « binationaux », ils doivent être déchus de leur nationalité française, puisqu’ils ne la méritent pas, qu’ils n’en sont pas « dignes », et être également expulsés vers leurs pays d’origines.
(Nous avons des moyens d’obliger ces pays à les accepter, ne serait-ce qu’en les menaçant de bloquer totalement, dans nos consulats, les demandes officielles d’immigration, ainsi que d’autres avantages commerciaux, fiscaux, etc.)
*Si ce sont des « Français de souche » ils doivent être éloignés définitivement de la métropole. (C’est bien ce qui se faisait pour les « bagnards » avant 1945). Ce ne sont pas les sites appropriés qui manquent, par exemple : rénover l’établissement pénitentiaire de Saint-Laurent-du-Maroni ou de l’Ile du Diable, pourquoi pas. Si elle a pu abriter un « innocent » comme Dreyfus, elle peut bien « loger » quelques milliers « d’indésirables dangereux » !
Cette « déchéance de nationalité », qui avait été refusé à François Hollande et qui aurait été sans aucun doute « Sa seule décision digne de rester dans le souvenir de son passage à l’Elysée « Aurez-vous le courage de la soumettre au peuple de France par référendum ? »
Non, vous ne le ferez pas, ni en ce qui concerne la déchéance de nationalité ni en ce qui concerne n’importe quel autre sujet « dont vous savez par avance qu’il obtiendra la majorité des voix pour qu’il soit adopté. »
Voilà les raisons pour lesquelles il n’y aura jamais de « référendum d’initiative populaire » proposé aux citoyens Français :
Un sondage avait été réalisé, en février 2019, par l’Institut Opinionway et le centre de recherche politique de sciences.Po, intitulé « Baromètre de la confiance politique ». Il avait été diffusé par le quotidien « Le Monde » mais ces plus de 40 pages ont été purement et simplement « occultées » par l’ensemble des médias.
Que révélaient ces 40 pages, qu’il ne fallait surtout pas diffuser auprès des Français ?
75% des Français ne faisaient plus confiance à l’Etat ni à la République.
88% rejetaient tous les partis politiques (ce qui explique les abstentions aux élections)
87% jugeaient que Macron n’était pas un très bon président (Mais il n’y a personne d’autre)
61% étaient prêts à manifester (Ils n’étaient que 30% en 2010 et plus de 70% aujourd’hui)
51% ne croyaient plus en la démocratie et souhaiteraient un « homme fort » au pouvoir.
86% souhaitaient une proportionnelle aux élections.
12% souhaiteraient que l’armée dirige le pays.
72% ne veulent plus d’immigrés en France (Ils sont 80% aujourd’hui)
52% sont pour le rétablissement de la peine de mort (35% en 2011 et 55% aujourd’hui)
69% souhaiteraient la déchéance de nationalité pour les binationaux condamnés (72% aujourd’hui).
88% réclamaient l’expulsion immédiate de tous les étrangers condamnés.
91% réclamaient la déchéance de nationalité pour les djihadistes ayant rejoints l’Etat Islamique.
69% souhaitaient la suppression de la nationalité au "droit du sol" (76% aujourd’hui)
Vous comprenez, à présent, pourquoi il n’y aura jamais de « référendum d’initiative populaire », en tous les cas sur ces sujets, dans notre pays.