De n’avoir pas été, tu restes ma césure, D’un impossible amour tu restes la fêlure D’un vide où s’engloutit ma seule déchirure Je pose mon regard sur cette meurtrissure
Le temps a réveillé la perfide brûlure De ces trop longs silences changés en blessures Et d’un brusque sursaut s’est faite la brisure (...)