Nous enregistrons les excuses adressées par le président du groupe FONCIA au copropriétaire mis en cause pour avoir osé exposer un drapeau français dans son jardin.

Il nous est tout de même difficile de comprendre de quel droit la directrice locale de Foncia s’est permis d’adresser cette injonction au dit propriétaire !

Si elle l’a fait sur demande d’un autre (ou de plusieurs autres) copropriétaire, elle aurait dû purement et simplement rejeter cette requête sans autre forme de procès.

En revanche, puisque dans la lettre, affichée sur tous les réseaux sociaux, figure le nom et l’adresse du copropriétaire concerné par l’exposition, jugée abusive d’un drapeau français, et qu’il était estimé un risque de débordement si ce drapeau n’était pas oté, nous demandons à Foncia d’indiquer également le nom du (ou des) copropriétaire qui aurait demandé l’enlèvement de ce drapeau, ne serait-ce que pour savoir si c’était par peur d’un débordement, ou, au contraire, il s’agissait pour lui (ou pour eux) de provoquer ces débordements ?

Vous comprendrez aisément, nous le supposons, la différence entre ces deux situations !