Dans ma France à moi, Monsieur Cardoze, qui venez de commettre un texte sur Boulevard Voltaire, on ne fait pas le panégyrique, même nécrologique, d’un traître, fût-il un « gentil » membre du Parti communiste algérien et eût-il « cosigné (très tardivement) une lettre demandant à l’État français de (...)