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De Gaulle : sa face cachée.

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Il faut tout de même que les Français sachent, surtout ceux nés après les années 60 et qui n’ont pas connu De Gaulle, qu’elle était sa « face cachée » et comment il était perçu par les alliés, anglais et américains, notamment par Winston Chruchill lors de son « séjour » outre-Manche de 1940 à 1944.

Le gouvernement anglais hésita à réclamer l’internement du « brigadier » de Gaulle, désigné comme « un ennemi juré de la Grande Bretagne », et des membres cagoulards de son entourage, tout juste arrivés sur le sol anglais, et cela bien avant que Churchill se trouve devant l’obligation de le désigner comme le représentant de la France libre. (De Gaulle laissa derrière lui un chemin d’anglophobie : Quotidien « Le Gardian » en date du 4 janvier 2000)

Dévoré par l’ambition, son objectif majeur fut d’être reconnu comme le seul représentant de la résistance française, comme le chef de la France Libre, et pour atteindre ce but il n’a pas hésité à désinformé les anglais, à les tromper sciemment. Une première fois en les embarquant dans la destruction de la flotte française à Mers-el-Kebir afin, selon ses affirmations, quelle ne soit pas remise entre les mains des nazis. Ce qui était absolument faux, et il en avait été personnellement informé par la récente arrivée du vice-amiral Muselier. D’ailleurs la suite des évènements le prouvera : pour une grande partie sabordage à Toulon et pour l’autre départ vers l’Algérie afin de se mettre au service des alliés.

Ensuite l’attaque de Dakar (AOF), laissant croire aux anglais que l’Afrique Occidentale Française se rangerait sous ses ordres sans combattre. Ce fut une déroute totale.

(Pour plus de détails voir mon livre « J’accuse De Gaulle » - édition 2016)

Toutes ces opérations illégales, les subversions et les tractations commises directement par le « brigadier » de Gaulle, comme le nommait les anglais, ou par ses acolytes, sur le sol britannique, ont fait peser carrément sur les épaules anglaises le fardeau d’avoir repoussé constamment les charges de complicités dans les intrigues ultérieures des gaullistes et de leurs actions criminelles. Jusqu’au point de causer un tumulte au sein même du gouvernement, à un point tel que Winston Chrurhill hurla, en mai 1943 : « Je demande à mon cabinet de considérer d’urgence la liquidation du pouvoir politique du « brigadier » de Gaulle afin de protéger les intérêts nationaux de la Grande Bretagne ».

Et à cette date ni Churchill, ni l’Angleterre, n’étaient au courant de l’affaire Henri Dufour.

Ce français, intégré dans les services secrets anglais, fut obligé de s’échapper de France et de rejoindre Londres le 28 mars 1942. Invité à se présenter au Quartier Général des Forces Françaises Libres, le 18 mai 1942, il est aussitôt arrête et intérrogé sous la torture (voies de fait, mis au cachot sous lumière vive, devêtu jusqu’à la taille et frappé par de violents coups de poing sur la figure, battu à l’aide d’une verge en acier, recouverte de cuir, sur la chute des reins, maltraité chaque nuit, du 19 au 29 mai, par les capitaines Wybot er Girard, menacé du viol et de l’assassinat d’une jeune fille de ses amies, engagée dans les services britanniques des F.A.N.Y., etc.)

Expédié au camp des FFL, situé à Old Dean Park, Camberley, et maintenu prisonnier du 29 mai jusqu’à début décembre 42, où il parvint à s’échapper et à saisir la justice anglaise.

Acte 23, déposé le 6 août 1943, contre De Gaulle, les lieutenants-colonels André Passy et Louis Renouard, les commandants de Person, Etienne cauchois et Pierre Simon, les capitaines Roger Wybot, François Girard.

(Cet acte fut signalé, à la presse internationale, par l’United Press en date du 18 septembre 1943)

Déjà, à l’époque, les cagoulards gaullistes appliquaient les méthodes nazies, non pas sur un collaborateur de l’occupant allemand, mais sur un français ayant collaboré avec les services de renseignements britanniques et dans le but inavouable qu’il dénonce les Français travaillant pour les services secrets anglais.

Le « brigadier » de Gaulle versa une somme de 50.000 Livres (20 millions de francs) à titre de transaction et pour le retrait de cette plainte.

Accro du pouvoir, catholique mais n’éprouvant ni pitié ni pardon, n’hésitant pas à éliminer sans état d’âme les personnalités qui le gênaient (Darlan, Dentz, Giraud, les chefs des willayas venue à Paris lui offrir la « paix des braves », Bastien-Thiry, Salan, Jouhaux, et j’en oublie…), De Gaulle est toujours parvenu à atteindre son but, quelque soit les moyens employés : régner sans partage.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2016/...