On ne sait pas assez combien nos écolos
Par la vertu du vent ont causé de dommages
A ce qui faisait la beauté des paysages
Avant qu’ils nous serinent de leurs trémolos.
Ils ont implanté partout leurs moulins-à-vent
Au motif de mettre fin à la pollution,
Ils n’ont fait qu’ajouter de par leurs prescriptions
Au laxisme d’État lâchement connivent.
Les éoliennes, non seulement ont un coût,
Qui dépasse celui qu’on avait ci-devant,
Mais aussi le boucan qu’elles font se mouvant
Est pire que celui d’un âne à son licou.
Leurs ailes désormais offusquent cathédrales,
Plaines et campagnes et jusqu’à nos montagnes,
Paysages meurtris d’Alsace à la Bretagne,
Quand les lobbies se goinfrent de leur nouveau Graal.
Et pendant ce temps-là, la belle Ségolène
Refuse gaz de schiste en coupable ineptie…
De tous les écolos on sait l’impéritie,
Chacun pourtant gonflant son petit bas de laine. (12/10/14)