De la République, il fut, dit-on*, bien le chantre,
Quand bien même il y accèdera assez tard…
Hollande, lui, je crois, n’en est plus que le chancre
En faisant de la France un pays de bâtards.
Le premier, je le nomme, c’est Victor Hugo,
Le second est connu pour ses impérities,
Tête la première il y plonge tout de go,
Notre grand écrivain n’eut pas sa presbytie.
Les immigrés ont déjà peuplé nos quartiers,
Mais ils n’ont plus de place pour tout occuper :
C’est donc d’attentats qu’ils ne font plus de quartier,
Ils pourront se loger en restant disculpés.
Hugo l’encensait de valeurs universelles
De la démocratie, de la laïcité -
Hollande la plonge dans une eau de vaisselle
Puant la contagion de la fertilité.
Hugo est mort, et ses belles idées aussi,
Mais on l’aurait suivi, faute de tout souci,
Quand depuis Hollande pullulent tant de miasmes
Qui de sa république ont banni l’enthousiasme. (22/08/16)
* Marianne - N° 1009