NotreJournal
par Alexis Arette.
Il était une fois trois petits cochons, un noir et deux roses, qui tirebouchonnaient de plaisir à l’idée de punir un grand méchant loup qui refusaient le droit aux petits cochons de crotter sur ses plates-bandes. Ils avaient seulement oublié que derrière le grand méchant loup, il y avait un plantigrade pas gentil du tout qui détestait qu’on vienne squatter sa banquise, de sorte que lorsqu’ils entendirent grogner un peu fort l’ours Moscovite, les trois petits cochons rentrèrent chacun dans sa porcherie, la queue pendante et le groin désappointé !
Voila comment un fabuliste moderne pourrait présenter notre actualité, alors qu’après leur fanfaronnade, Obama, Cameron, et Hollande priés diplomatiquement d’aller se faire voir ailleurs, proclament aux imbéciles qui veulent les entendre qu’ils ont sauvé la paix !
Autrement dit, Poutine est redevenu le Tsar. Ce qui en Russe signifie : César. Et comme Poutine à lu les Évangiles, il sait qu’il faut « rendre à César ce qui appartient à César », ce qui commence par le respect que l’on doit a ses fusées intercontinentales. Camerone a tout de suite compris. Obama a été un peu plus dur de la feuille, et Poutine a du lui dire, qu’il ne le tenait pas pour le nouveau Moïse du Peuple élu. Obama l’avait cru jusqu’ici. À preuve, sa déclaration après avoir zigouillé Ben Laden au Pakistan : « Rappelons-nous que nous pouvons accomplir ces choses, non pas seulement en raison de notre richesse et de notre puissance, mais à cause de ce que nous sommes : Une nation bénie de Dieu, indivisible, et vouée à la liberté et a la justice pour tous ! »
Manifestement ce Dieu n’est pas celui du Pape, qui lui, avait désavoué le projet d’Obama, d’établir la justice en Syrie, comme son prédécesseur l’avait établie en Irak. Mais Obama se laisse parfois emporter par son hérédité historique : Quand une Nation possède dans son héritage le génocide des Indiens, la crémation des civils d’Hiroshima, de Nagasaki et de Dresde, avant d’avoir inventé les terribles armes de Saddam Hussein, pour chouraver ses puits de pétrole, on a comme un entraînement à la chose. Et quand on sait que Cameron a hérité d’une histoire pleine de sang et de fureur, avec en détail, l’invention des premiers camps d’extermination pour les « Boers », et que les multiples Oradours de Vendée sont dans les gênes républicaines de Hollande, on comprend leur tentation de s’allier pour donner une suite à leurs mauvais coups…
Ce qu’on ne comprend pas tout à fait , c’est que le gouvernement Français se soit alarmé en constatant que 300 « jeunes » de nos banlieues sont partis rejoindre les mercenaires payés par le Qatar et l’Arabie Saoudite, pour s’emparer de la Syrie. Ne font-ils pas exactement ce que Hollande voulait faire avec le sang de nos soldats ?
Serait-ce que les socialistes, désireraient garder en métropole ces volontaires de la « guerre sainte », pour réprimer le cas échéant la révolte prévisible d’un peuple qui se sent dirigé par des foutriquets ? De Gaulle eut bien ses « Barbouses » pour ses sales besognes. Pourquoi Hollande n’aurait-il pas ses « fédayins » ?
Pour ma part, sachant ce qu’est la guerre pour l’avoir faite aux avant-postes, j’ai une horreur profonde de ceux qui la préconisent en y envoyant les autres. ! Et bien sur, messieurs Hollande, Fabius, Lévy… me paraîtraient moins « mal élevés », s’ils mettaient leur viande molle, ou celle de leurs enfants dans la balance ! Mais ce serait bien la première fois que les « fils à Papa » seraient traités comme les enfants du peuple !
Traités selon leur Nature par Poutine, les trois petits cochons devront se contenter de leurs auges respectives, et un temps de répit nous est donné. Mais on peut faire confiance au Dieu d’Obama pour tenter de provoquer l’hécatombe souhaitée par la Banque. Car ce dieu, c’est bien évidemment le cornu que les musulmans appellent : Le Grand Satan !
Alexis Aussein Hussein, , on a comme une lourde hérédité.
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