Vous croyez qu’après l’assassinat de ce malheureux couple de policiers, les Français, je dis bien les Français dans leur ensemble, et pas seulement nos responsables politiques, vont enfin prendre conscience que nous sommes engagés dans une guerre qui nous fera disparaître si nous la perdons ? Naïfs que vous êtes ! Croyez-vous sérieusement que les responsables politiques, et leurs complices (électeurs, grévistes, manifestants, médias, intellectuels - la liste est interminable de ceux qui, au nom d’intérêts privés qu’ils ont cyniquement fait passer pour l’intérêt général, nous ont mis dans cette situation), vont soudain confesser publiquement leur faute et se faire hara-kiri devant les télés d’information en continu ?

Ce serait se faire une bien haute opinion de cette humanité-là. Ces gens-là, collés à leurs avantages comme des arapèdes à leur rocher, ont pris leur parti des attentats, de l’invasion islamique et de la déchéance de la France. Pourvu que rien ne bouge de leur vivant, que les victimes ne les touchent pas de trop près, et après eux, le déluge. Après tout, si l’on considère froidement la situation, les attentats font nettement moins de morts que les accidents de la route ou le tabac.

Et c’est le spectacle affligeant d’un président de la République et d’un ministre de l’intérieur réduits au rôle de gérants de pompes funèbres, récitant comme des automates, à chaque enterrement, leur bréviaire hypocrite de fausse compassion assaisonnée de rodomontades ridicules ; c’est la droite de gouvernement et ses fausses indignations, interpellant sans trop y croire le gouvernement au sujet de ces fameux fichés S qui se promènent dans notre France passoire sans être le moins du monde inquiétés ; comme si, quand elle était « en responsabilité », il n’y avait pas eu de Mohamed Merah. (Il y a plus de 10.000 fichés S, il faut 10 policiers pour « fixer » 24h/24h un suspect, c’est vous dire si c’est réaliste)

Non, ne vous bercez pas d’illusion, en dépit de leurs postures guerrières, nos responsables politiques, à droite comme à gauche, ne feront rien de plus que ce qu’ils n’ont pas fait après « Charlie » ou le « 11 septembre », parce que n’étant pas plus stupide que moi (et d’autres), ils savent qu’il est trop tard : avec de 7 à 10 millions de français musulmans, 2500 mosquées en activité et une nouvelle mosquée ouverte par semaine pour répondre aux besoins de fidèles de plus en plus nombreux et actifs, l’Islam s’est définitivement installé dans notre pays, avec ses us et ses coutumes. Les quelques centaines de candidats au martyr et les quelques milliers de musulmans (ou peut-être moins) déterminés à faire rentrer de force la France dans la maison de l’Islam sauront contraindre à les suivre les « 99% de musulmans paisibles et pacifiques qui ne demandent qu’à vivre tranquillement leur foi dans une république apaisée » (vous connaissez tous le refrain, hein).

Je l’ai écrit dans « Faire la guerre au Djihad (3 octobre 2014) », et dans « Tu seras musulman, mon fils (15 janvier 2016) » : la France deviendra musulmane parce qu’aucun homme ou femme politique ne voudra faire le sale boulot, et, accepterait-il de prendre le risque d’apparaître comme un nouvel Hitler, il y aurait assez de « Français » drogués aux « droits de l’homme et à la repentance coloniale pour l’en empêcher. Les corps des deux policiers n’étaient pas encore froids, que les ennemis intérieurs de notre pays avaient repris leurs immondes sabotages : grèves, manifestations, destructions, campagnes anti-police, mensonges, anathèmes, accommodements "raisonnables", et j’en passe.

Je vous le dis, il n’y a plus rien à faire… sinon se convertir à l’Islam. Dépêchez-vous, les premiers renégats seront les mieux servis.