Recommander ALGER, rampe Valée, huit heures du matin. Louis LATAILLADE

ALGER, rampe Valée, huit heures du matin. Louis LATAILLADELire la suite de «ALGER, rampe Valée, huit heures du matin. Louis LATAILLADE»

Une aube hésitante de février –1934- s’est levée sur la ville. Là-bas, au-delà de l’Amirauté, c’est un ciel allègre, un horizon marin dépouillé. Mais de lourdes nuées traînent sur la haute ville, mal contenues par le dôme de la Médersa et les bâtisses neuves dont la Casbah est bordée. On les devine gorgées (...)