Dès son arrivée à Tunis, Jean-Luc Mélenchon, le leader du Front de gauche, est allé présenter ses condoléances à la veuve de Chokri Belaïd l’opposant aux islamistes assassiné mercredi. Il a dénoncé la « kleptocratie » en Tunisie et en France.
Ce n’est pas une révolution tunisienne ou arabe. C’est un (...)