Voici le diagnostic prévu par la Banque mondiale, et son avertissement aux gouvernements de tous les peuples de notre planète.

« Le monde fait face à une crise de l’emploi généralisée qui menace toutes perspectives de croissance. Il n’existe aucun remède miracle pour remédier à cette situation. 600 millions d’emplois supplémentaires doivent être créés dans le monde d’ici 2030 pour faire face à l’augmentation de la population. »

**A tous les utopistes qui s’imaginent que la démographie galopante sur notre planète est un bien pour l’humanité.

**A tous les utopistes qui s’imaginent que la démographie de la France est une chance pour notre pays, et se glorifie d’ajouter que, d’ici quelques années, notre population sera supérieure à celle de l’Allemagne et que nous seront le pays le plus peuplé d’Europe.

**Dans un tel contexte mondial la situation de la France n’a aucune possibilité de s’améliorer. Selon un rapport du Conseil d’analyse économique, remis au premier ministre, Manuel Valls, l’économie française est non seulement à l’arrêt mais une dangereuse stagnation à long terme nous menace : Moins de création de richesse (-25 points de PIB d’ici 2040) et + 12 points de déficit public et jusqu’à un doublement de la dette publique, aujourd’hui déjà à 93,6% du PIB.

Responsable de ce malaise mortel de notre planète : la surpopulation car nous atteindrons les 9 milliards d’ici 2050.

Il apparaît déjà à de grandes puissances comme une priorité absolue de freiner, dans un premier temps, cette démographie galopante (et cela explique les campagnes nationales de stérilisation en Chine et en Inde) puis de réduire considérablement la population mondiale.

**Rappelons les déclarations de Robert Mac Namara, ex-secrétaire d’état américain (mort le 6 juillet 2009) déjà dans son fameux discours de Nairobi, en 1973, il avait fixé comme objectif n° 1 : réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la part de la population dont le revenu est inférieur à 1 dollar par jour. Il estimait cette population à environ 800 millions de pauvres.

Trente ans plus tard la projection de la Banque mondiale est identique :

« il y aura 800 millions de pauvres en 2015 »

Il est déjà remarquable que le nombre de pauvres n’ait pas augmenté malgré un accroissement de + de 50% de la population mondiale au cours de cette même période.

Le problème est que si cette pauvreté diminue dans certains continents elle reste très élevée en Afrique subsaharienne et en Asie du sud.

**Dès lors nous revient en mémoire cette seconde déclaration de Robert Mac Namara :

« Il nous faut prendre des mesures draconiennes de réductions démographiques même contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible et insuffisant. Il faudra donc augmenter le taux de mortalité. »

Que voilà une déclaration lourde de sens et de menace : Comment ?