Tchétchènes et islam

Si vous voulez comprendre la mentalité de ce peuple lisez le livre d’Alexandra Lapierre « Nous les hommes ».

Elle y raconte la guerre à mort entre la Russie tsariste, fin du 19ème siècle, et le peuple Tchétchène dans le Caucase. Elle se base sur des documents et romance à peine. On y lit que tous les individus ce peuple du plus petit au plus vieux y compris toutes les femmes sont « des fous de dieu » je devrais dire des fous d’Allah. Ils ont fait la guerre jusqu’à la disparition presque totale de ce peuple.

L’Arabie Saoudite promue puissance pétrolière mondiale par les américains a participé à la reconstitution de ce peuple qui s’est libéré lors de la chute du mur de Berlin. L’Arabie saoudite, crée par Laurence d’Arabie, donc par l’Angleterre, était prédisposée a devenir un pion de l’Amérique sur l’échiquier mondial.

Elle a inondé le monde de corans dans le texte de sa première mouture, c’est à dire dans l’esprit des années 1000 et avant. Ce texte n’a jamais été remis en question ni modifié pour correspondre à l’évolution de l’humanité. On voit bien que partout les peuples musulmans restent au niveau où ils étaient à l’époque. Seuls les riches et puissants peuvent s’instruire et profiter des progrès de la civilisation.

En Algérie où j’ai été élevée, j’ai constaté bien souvent que les enfants musulmans n’allaient que très peu à l’école française. Les parents, sur injonction des imams saoudiens, les envoyaient à l’école coranique où ils n’apprenaient qu’à réciter par cœur le coran et très peu à lire. Par contre les enfants des riches et des familles respectées venaient à l’école, au collège, au lycée et à l’université.

Peu à peu nous avions de plus en plus de camarades musulmans. Même ceux-là, sans jamais le dire, étaient travaillés par les idées révolutionnaires qui leur faisaient croire qu’il suffisait d’expulser tous les français pour prendre le pouvoir.

Mais le peuple « pied noir » n’était que partiellement français. Il était d’origines diverses, espagnole, établis en Algérie bien avant les français et les autres, italiens, maltais et j’en passe. Parmi les musulmans d’Algérie, tous les riches et évolués avaient la nationalité française qu’ils ont gardée après l’indépendance tout en adoptant la nationalité algérienne qui venait d’être crée.

Beaucoup de pauvres musulmans avaient aussi la nationalité française, tous les anciens combattants des deux guerres, tous les fonctionnaires, instituteurs et autres, tous les employés des mairies et encore beaucoup d’autres. Aucun n’a abandonné la nationalité française. Ils avaient deux passeports, un rouge et un vert, dont ils se servaient selon leur intérêt. Le gouvernement algériens s’est bien gardé d’interdire ces pratiques, dont les membres du gouvernement se servaient aussi.
J’ai connu beaucoup d’algériens qui venaient se faire soigner en France et profiter de la sécurité sociale. C’est toujours une pratique de plus plus utilisée.

Mais je m’égare, revenons aux musulmans.

Tous ces algériens, tunisiens et marocains qui viennent vivre en France dans le cadre du regroupement familial, ils viennent en vainqueurs, ils ont gagné la guerre, c’est ce que leurs mères ou pour être au goût du jour, leurs mamans, leur enseignent. Surtout vivre en France mais rester musulman avant tout et dans les coutumes du pays. J’entends ce jeune, ami d’une de mes petites filles dire « viens chez moi, nous sommes au bled ici ». On appelle cela les territoires perdus de la république qui deviennent peu à peu la majorité du territoire de la république.

On est obligé de constater que c’est un phénomène irréversible, la loi du nombre.

Peut-être que par une politique différente on pourra revenir à un état de chose moins mortifère pour les non musulmans de France. Certains pays européens s’efforcent dans ce sens mais ils sont condamnés par les autorités européennes.

La terrible crise du covid aboutira peut-être à des changements drastiques.