Un grand merci monsieur Ménard. Je voudrais que mon père vous entende, lui qui après 15 jours à Toulon en juillet 1962 a préféré rentré et mourir dans son pays, 5 générations nées en Algérie, plutôt que de prendre un fusil et tuer tous ces fonctionnaires qui nous crachaient au visage encouragés par ce grand humanitaire maire de Marseille qui voulaient tous nous jeter à la mer.
# Le 6 décembre 2020 à 22:56, par Suzanne de Beaumont En réponse à : 5 Décembre 2020- Discours de Monsieur Robert Ménard