Et les lanières de calmars en sauce piquante, et les beignets de sardines ou d’anchois, la calientica , les brochettes, la mersa ( rate farcie) grillée devant les bistrots avec le parfum d’anisette de mon enfance qui flottait jusque dans la rue. "à ORAN"
On a perdu un pays mes frères et une culture. Sans compter tout le reste. Le bonheur de vivre
Je suis triste à mourir, c’est ce qui m’attends et çà me console.
# Le 22 juin 2018 à 20:59, par LOPEZ Paul En réponse à : BALLADE DES KÉMIAS en ALGER