SECOURS de France : la lettre de Novembre 2012

, par  gerardoranmorin
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Le 12 novembre 2012 à 19:32, par gerardoranmorin En réponse à : SECOURS de France : la lettre de Novembre 2012

A propos de la "répression" anti-algérienne à Paris, un journaliste, sûrement bien informé, avait affirmé que 300 personnes avaient été tuées à coups de matraques rien que dans la cour de la Préfecture de Police. Je crois me souvenir que l’"Huma" avait relayé l’info.

Est-il raisonnable de tenir de tels propos ? A-t-on la moindre idée de ce que cela représente de tuer quelqu’un à coups de bâton ? Et il fallait s’assurer de ne laisser aucun témoin. Les corps, on les met où ? Combien de temps pour laver la cour (qui était présentable dès le lendemain) ? Et dans ce tas de tueurs sanguinaires, il ne s’en est trouvé aucun pour s’en émouvoir ? Pas le moindre flicaillon ayant un semblant de sensibilité de gauche pour cafter les jours suivants malgré un courageux anonymat ?

Quand on pense aux difficultés extrêmes que l’on éprouve à faire admettre que les mitrailleuses lourdes de l’armée française tirant sur une foule compacte de citoyens français, dont des femmes et des enfants, non armés, sans possibilité de repli, rue d’Isly à Alger, à coûté au moins 80 morts ! Chiffre ardemment contesté par tous les hi(stora)rien dûment estampillés "corrects".
La matraque, arme de destruction massive, c’était donc ça, la solution ?