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Qu’est-ce qu’ils sont en train de mettre dans la tête de nos enfants ?

, par  NEMO , popularité : 6%
NJ-Ile de France

Que penser, que dire, que faire quand votre pré-ado de 12/13 ans vous raconte que sa copine X... s’est persuadée qu’elle est bi-sexuelle (elle a fait un test sur internet), que dans une classe il parait que la moitié des élèves est gay, qu’elle s’est fait insulter par des cerbères de son âge parce qu’elle était passée à côté d’un papier qui traînait par terre (qu’elle n’avait pas jeté et qu’elle n’avait pas vu), au nom de l’écologie et de la sauvegarde de la planète ? Et comment prendre au sérieux des morveux de 16 ans qui manifestent contre la réforme des retraites, ou pour « sauver » le climat ?

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Que va devenir notre jeunesse, décérébrée aux smartphones, réseaux sociaux et séries américaines, surveillée par les nervis d’une ribambelle d’associations et de groupes de pression dont le seul objectif, derrière un fatras d’injonctions morales, est le fric, le fric, le fric ? Le pire, c’est cette entreprise de déconnexion de nos enfants -et pas seulement eux, hélas-, du sens du ridicule et des contraintes de la réalité.

Que nous proposent les maîtres du Monde pour un avenir radieux sans CO2, donc sans biomasse, donc sans nature ? Des énergies alternatives, pour répondre à une demande toujours plus élevée - qu’eux-mêmes provoquent, soit dit en passant, en créant des besoins parfaitement artificiels ( la seule consommation d’électricité des « datacenters » des GAFA, soit une poignée d’entreprises, devrait atteindre 13% de la consommation mondiale en 2030 !)- : des moulins à vent quand il n’y a pas de vent, ou trop de vent, des panneaux solaires, quand il fait nuit et quand il n’y a pas de soleil... C’est qu’il y a beaucoup, beaucoup de fric à se faire en installant des dizaines, des centaines de milliers d’éoliennes et de panneaux - non biodégradables, non recyclables - dont l’empreinte carbone est en plus catastrophique. Beaucoup plus de fric qu’avec l’énergie nucléaire, pourtant la seule énergie connue qui offre une perspective de développement, certes risquée, mais infinie. Qui croit sérieusement que nous allons conquérir la galaxie avec des fusées à hélice ?

Et il y a la pression pour installer de nouvelles sexualités chez des gens qui n’ont rien demandé, indissociables du droit à l’enfant, et pour cause : croyez-vous que ce qui intéresse nos maîtres du Monde est que tout un chacun puisse s’épanouir dans la relation amoureuse et dans le genre qui lui conviennent ? Ben voyons ! l’intérêt de tout ce cirque grotesque, c’est que les enfants nés d’une voie naturelle ne génèrent que de l’amour et du plaisir, alors que PMA et GPA sont de véritables industries, avec l’objectif final, sous prétexte de « libérer » la femme de la grossesse, de fabriquer les enfants comme n’importe quel produit de consommation, en kit, les plus belles options seront les plus chères.

Enfin, et tout se tient, il y a l’offensive menée tous azimuts contre l’agriculture. Le terrorisme végan, la croisade anti-glyphosate, les accusations de toutes sortes contre les paysans, qui seraient les principaux responsables, avec les moteurs diesel, du « réchauffement » (pardon, des « changements » - le réchauffement n’étant pas au rendez-vous fixés par le GIEC, les changements sont d’autant plus faciles à démontrer qu’ils sont permanents depuis que la Terre existe). Quel est là encore l’objectif final ? Tout simplement de remplacer les agriculteurs, qui sont un vestige du passé, par des grands trusts dont les usines automatisées vomiront une nourriture industrielle à base de molécules, à des consommateurs conditionnés, à grand renfort de sucres tout aussi industriels, à ne plus pouvoir se passer de la merde qu’on leur fera bouffer. Notre jeunesse est d’ailleurs fin prête au progrès, il n’y a qu’à entrer au moins une fois dans sa vie dans un Mcdo. Le cheese-burger dans l’assiette, le coca-cola dans le verre, et le smartphone dans la main.

Bon, il y a quand même une lueur d’espoir : je connais des jeunes qui vivent autrement. On les encourage comme on peut à ne pas suivre aveuglément le troupeau, mais ils assument crânement de ne « follower » personne, de ne pas « liker » quoi ou qui que ce soit, de ne pas acheter le dernier bidule indispensable, ou de vivre sans être connectés. La pression est forte, mais ils résistent... en « lisant » des vrais « livres » ! Qui sait ce qui peut arriver avec des jeunes de cette trempe ?