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Par delà Donald Trump

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

La situation aux USA devient de plus en plus explosive. Les primaires républicaines sont le théâtre d’une véritable guerre civile qui a d’abord débuté au sein du parti – l’équivalent des “Républicains” français – avant de progressivement s’étendre à de nouvelles fractions de la société.

Le meeting de Donald Trump a été annulé suite à des violences commises par des bandes de musulmans, d’afro-américains et de gauchistes – très peu nombreux – agités par le groupe Move On, une organisation financée par l’oligarque juif George Soros. Le même dépense actuellement de millions de dollars pour convaincre les latinos de voter pour Hillary Clinton.

Hier encore, un élément d’extrême-gauche a essayé de s’en prendre physiquement à Donald Trump :

L’oligarchie entend clairement utiliser le sous-prolétariat racial contre la classe moyenne blanche US qui porte Donald Trump.

Business as usual

Aux USA, n’importe quel candidat peut – et de facto doit – solliciter des donateurs pour financer sa campagne électorale, peu importe le mandat qu’il vise. Chacun comprend que l’élection suprême, la présidentielle US, est l’élection la plus importante de la planète. L’argent afflue donc vers des candidats “sûrs”, présélectionnés, qui confortent les puissances qui dominent les USA.

Hillary Clinton est la femme de Bill Clinton qui, lorsqu’il était président (1992 – 2000) a aboli le “Glass Steagal Act” mis en place par le démocrate Franklin Delano Roosevelt après la crise de 1929. Cette abolition a permis à la finance de se livrer à une surenchère spéculative colossale. Au surplus, ce sont les Clinton qui ont rendu les prêts étudiants imprescriptibles, faisant de la jeunesse l’esclave à vie des banques.

L’opposant principal de Donald Trump au sein du Parti Républicain est Ted Cruz dont la femme travaille pour la banque juive Goldman Sachs.

Candidat plébéien

Cela, c’était jusqu’à ce qu’un des membres de l’oligarchie ne décide de devenir un “candidat plébéien”. Ce candidat, c’est Donald Trump. Dans un système républicain, des “patriciens” dominent le jeu politique, à l’instar de la république romaine pré-impériale. Des familles anciennes, riches et puissantes cadenassaient le processus politique mais devaient cependant se répartir les offices avec l’aval de la plèbe romaine. Généralement par l’usage d’un clientélisme redistributif ultra-agressif. Ce que l’on appelle aujourd’hui de la corruption.

J’ai pu lire ici et là certains de nos amis s’offusquer de ce que l’on puisse soutenir Trump. Ces critiques des milieux identitaires et nationalistes francophones estiment que puisque Trump fait partie de l’oligarchie, en tant que milliardaire, il ne peut pas défendre les intérêts de la classe moyenne blanche US et, par extension, du Bloc occidental.

C’est aller un peu vite en besogne. Il y a deux types de leaders plébéiens. Premier cas de figure : l’homme du peuple qui, à la faveur d’une crise historique majeure, se hisse au plus haut sommet de l’état. C’est le cas d’Adolf Hitler ou de Napoléon Bonaparte. Deuxième cas de figure : un membre de l’oligarchie patricienne qui s’empare de l’imperium. Ce fut le cas de Julius César ou, plus récemment, de Vladimir Poutine.

Il est à noter que c’est l’armée qui porte toujours, au final, cet homme à la tête du gouvernement. Que ce soit ouvertement dans le cas de Bonaparte ou secrètement dans le cas d’Adolf Hitler.

Julius César a été assassiné parce que l’oligarchie patricienne ne voulait pas voir son pouvoir réduit. Mais l’évolution historique de Rome rendait inévitable l’avènement d’un pouvoir monarchique. C’est donc Auguste qui réalisa le projet de César.

Un tournant majeur

A bien des égards, un membre de l’oligarchie qui cherche à rompre avec elle pour s’emparer du pouvoir est bien plus dangereux et menaçant à ses yeux qu’un homme du peuple qui essaierait de faire la même chose. L’oligarque en rupture dispose de moyens équivalents à ceux de ses adversaires, il connait intimement le fonctionnement du gouvernement. Il dispose d’amis partout présents en son sein qui l’informent des moindres faits et gestes de ses adversaires.

A ce titre, quand Donald Trump déclare être la dernière personne contre laquelle Hillary Clinton veut se présenter”, c’est absolument juste. Il connait sa vie privée, les réseaux auxquels elle appartient, les innombrables scandales dans lesquels elle est impliquée. Probablement l’a t-il lui même acheté par le passé dans des proportions inconnues du public.

Chacun peut voir le degré d’animosité que Trump suscite dans la presse américaine et ouest-européenne. L’oligarchie a peur car Trump est un authentique démocrate : c’est-à-dire qu’il s’appuie sur le peuple pour imposer sa volonté aux oligarques. Comme Napoléon ou Poutine. Et rien n’est plus insupportable pour l’oligarchie que d’être pris en étau par une telle coalition. C’est ce que l’élite ploutocratique appelle “le populisme”. Et les médiats de la ploutocratie s’acharnent alors à délégitimer celui qui ose vouloir remettre en cause le statu quo.

L’histoire fonctionne de manière cyclique et rien n’est jamais le fruit du hasard. Donald Trump devait apparaître à ce moment précis de l’histoire américaine, tout comme Bonaparte ou César en leur temps. Les imbéciles heureux du journalisme stipendiés, français en tête, essaient d’expliquer le phénomène à l’aune de la personnalité du milliardaire. C’est ne pas comprendre que c’est ici parfaitement secondaire.

Trump survient à un moment où il devient évident que la tentative par l’oligarchie US de créer un seul centre de pouvoir planétaire a échoué. C’est précisément George Bush Senior puis Bill Clinton qui ont tenté d’établir ce projet grandiose après la chute du mur de Berlin. Il n’est donc pas surprenant que Donald Trump représente la prise de conscience de l’échec de ce projet et que s’opposent à lui la femme de Bill Clinton et le fils de George Bush, Jeb.

Le milliardaire a fait savoir qu’il voulait s’entendre avec Vladimir Poutine. Une présidence Trump acterait donc de l’échec des tentatives d’annexion de la Russie à l’empire global américano-centré.

Naturellement, ceux qui ont, avec le clan Clinton et les néo-conservateurs, tenté de réaliser ce projet depuis 25 ans se verraient de fait écartés des instances dirigeantes du pays car l’Amérique entrerait dans un nouveau cycle historique. Un pays qui se recentrerait sur sa base nord-américaine et adopterait une posture défensive, consciente de ce qu’aucune campagne militaire ne permettra d’étendre les frontières de l’empire.

Cependant, ne blâmons pas trop vite l’oligarchie US. Elle voit la Chine organiser la colonisation de l’Asie Centrale et créer un corridor terrestre entre la Chine et l’Europe, privant la marine américaine des moyens d’isoler l’empire chinois renaissant. Le centre de gravité de l’économie mondiale est en train de rebasculer vers l’Eurasie, ce qui marginalisera relativement de facto la puissance américaine. Au surplus, la Chine développe une flotte et une aviation puissantes à même de contenir les USA si besoin.

Le réalisme de Trump, quoique basé sur un constat rationnel, ne va pas sans heurter émotionnellement et politiquement ceux qui, à Washington et New York, sont habitués depuis un siècle à arbitrer les affaires du monde. Et si l’on considère les USA comme le prolongement de l’empire britannique, depuis la Guerre de Sept Ans (1756 – 1763).

Les élites châtrées d’Europe de l’Ouest terrifiées

Ce que refusent d’admettre les oligarques US et leurs vassaux, c’est que les USA sont en transition. Les oligarques personnalisent à outrance cette crise et recherchent chez Trump les causes de leur propre échec. L’agitation raciale que tente d’instrumentaliser les partisans de Clinton et les idiots utiles du juif socialiste Bernie Sanders, n’est qu’un leurre destiné à neutraliser la classe blanche américaine et à la maintenir dans son état de sujétion vis-à-vis des oligarques US qui jouent encore à l’échelle globale. A l’instar des juifs Zuckerberg (Facebook) ou Larry Page (Google), pour ne citer qu’eux.

Pour nous, en Europe, l’élection américaine est évidemment très importante car nous sommes des provinces de l’Empire. Tout comme la Grèce, mère de la civilisation latine, était devenue une province romaine. Le centre du système occidental se situe, que cela plaise ou pas, à Washington. Toute évolution politique majeure se déroulant dans le centre se répercute chez nous, directement. Au plan militaire – via l’Otan – mais aussi culturel, compte tenu de la colonisation médiatique que nous connaissons.

Il est d’ailleurs particulièrement intéressant de constater que l’Europe, comme bloc civilisationnel procédant d’une même souche raciale, existe bel et bien et qu’elle vit au même rythme politique : simultanément, en Amérique du Nord comme en Europe, le national-populisme, la conscience du danger musulman et de la menace existentielle représentée par l’immigration allogène, surgissent dans le processus politique.

C’est la démonstration par l’absurde que les frontières entre pays de souche européenne ne sont, au mieux, que des zones d’influences d’oligarchies indigènes, rien de plus. Et certainement pas des murs imperméables derrière lesquels des “souverainistes” pourraient disposer de nous selon leur bon plaisir. Tout est infiniment plus complexe que ce que cette vulgate débilitante vitupère ici et là. Ce stato-nationalisme là est, de par sa nature réactionnaire – c’est-à-dire limitée à une réaction, sans esprit d’initiative – une illusion incapacitante.

Les femelles ouest-européennes préfèrent le barbare musulman

Les élites ouest-européennes, dévirilisées et déjà soumises à l’islam avec lequel elles recherchent un modus vivendi – appelé le “vivre ensemble” – sont terrifiées à l’idée que Donald Trump puisse effectivement accéder à la fonction suprême : celle de président des États-Unis. C’est-à-dire “premier citoyen” de l’empire occidental.

Parce que Trump, en réalité, serait un président véritablement “américain” au plan culturel. Il incarnerait l’Amérique qui domine et assume son statut de puissance dominante. Cette attitude martiale et fière que les élites européennes châtrées abhorrent, tant pour elles-mêmes que pour autrui. Trump désigne l’ennemi et assume la conflictualité. Il s’inscrit dans l’histoire, à l’inverse des tenants du pacifisme anti-historique au pouvoir à Paris, Berlin et Bruxelles.

L’Europe et l’Amérique forment un couple et l’Europe a adopté le rôle de la femme : elle sait qu’elle ne peut pas obtenir ce qu’elle veut par la force, aussi use t-elle de toutes les subtilités psychologiques afin de circonvenir le patriarche. Et la diabolisation de la force est naturellement la première de ces subtilités.

Obama était l’incarnation symbolique et illusoire de la fin de l’histoire pour les élites marxisées d’Europe de l’Ouest. Métis, il donnait l’image de la fin des races, au détriment de la blanche naturellement. Tenant d’un “dialogue avec les musulmans” depuis le Discours du Caire de 2008, il confortait la bourgeoisie européenne dans sa volonté de soumission à un autre mâle dominant : le barbare musulman.

Las, si le mâle du couple assume la conflictualité, il force sa “compagne” européenne à faire de même. Or, de par sa proximité avec le barbare musulman avec lequel elle couche dans son domicile, la volonté de survie du “mâle américain” devient pour elle la cause d’un conflit qu’elle ne veut pas affronter. il lui faudrait en effet “choisir”.

Cet état de dévirilisation vient de plusieurs phénomènes conjugués, le premier étant le bain de sang de 1914-1918 et le second la soumission brutale du continent par l’US Air Force, entre 1942 et 1945. On y ajoutera le virus égalitariste dont procède l’antiracisme.

Fort de cette incapacité à la puissance, l’Europe de l’Ouest ne connait qu’une attitude face à un ennemi : la soumission. Face à l’envahisseur afro-musulman, l’Europe de l’Ouest n’entend opposer aucune résistance. Les forces d’opposition – fondamentalement masculines – qui tentent de réagir sont invariablement réprimées par les élites, de peur que l’Europe ne redevienne une puissance virile, donc guerrière.

Depuis les deux guerres mondiales, l’Europe de l’Ouest a fait sienne une ligne de conduite très simple : plutôt la soumission que le combat pour la liberté.

L’Amérique qu’incarne Donald Trump, quoique déclinante relativement, est une puissance qui veut demeurer active historiquement. Une puissance qui assume le tragique. Une puissance agissante qui se donne les moyens de la puissance.

De manière révélatrice, les élites ouest-européennes névrosées nourrissent la même détestation pour Vladimir Poutine que pour le candidat aux primaires républicaines. Il n’est pas difficile de comprendre que Donald Trump et Vladimir Poutine sont faits du même bois et qu’à ce titre, ils parleraient la même langue.

L’image du mâle blanc dominant terrorise ces élites dégénérées – à l’image de l’ancien chef de la diplomatie suédoise, l’ordure Carl Bildt – qui brandissent, en “alternative”, la figure horrible et monstrueuse de la truie Merkel et de ses rejetons orientaux, j’ai nommé les islamo-violeurs.

D’ailleurs, on imagine bien le malaise qui s’emparerait d’Angela Merkel si d’aventure elle devait être reçue à Washington par celui qui l’a ouvertement accusé d’avoir “détruit l’Allemagne” en laissant entrer des millions de barbares afro-musulmans.

Les pays d’Europe centrale et orientale qui ont combattu l’occupation rouge, Hongrie en tête, ne se reconnaissent pas dans cette dévirilisation. Et il est évident que si l’Europe véritablement européenne existe encore, c’est à l’est et non à l’ouest du continent.

Les mâles hongrois ont construit leur mur :

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Les femelles françaises arrêtent les opposants qui, à Calais ce week-end, dénonçaient l’invasion barbare :

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Dans le même temps, les bandes allogènes afro-musulmanes sèment l’anarchie en toute impunité dans la même ville.

Par delà Trump

Il ne s’agit pas ici non plus d’idéaliser Donald Trump. Comme je l’ai dit, sa personnalité est secondaire même si c’est ce que nous voyons et comprenons le plus aisément. Il est encore prématuré de dire qu’il sera effectivement le candidat du Parti Républicain. La mobilisation de l’oligarchie est telle que tout sera fait pour l’empêcher de simplement pouvoir concourir.

Mais, d’ores et déjà, les questions fondamentales sont posées : immigration, radicalisme islamique, primauté des intérêts américains sur ceux transnationaux de certains oligarques. La dynamique enclenchée n’échappe pas aux ennemis de Trump qui voit se profiler à l’horizon un césarisme qu’elle redoute par dessus tout.

Pour nous, Européens, la victoire de nos idées en Amérique, même partielle, accroîtrait encore notre propre dynamique sur le continent. Ne serions-nous pas tous heureux d’avoir aux USA un gouvernement ayant identifié l’islam comme un ennemi par nature alors même que, chez nous, le nombre de mosquées n’a cesse de progresser, que nos “élites” ont d’ores et déjà jugé préférable de nous vendre pour simplement conserver le pouvoir, à l’image du candidat Alain Juppé ?

Compte tenu du rôle terrifiant joué jusqu’ici par la CIA et l’ambassade US en France dans la promotion de l’immigration afro-musulmane et de l’islamisation du territoire, toute rupture serait par évidence salutaire.

Pour ma part, je suis évidemment un ardent partisan de Donald Trump, tout en gardant à l’esprit que nos chances sont encore réduites. Mais que l’on ne doute pas d’une chose : le tsunami économique qui se profile à l’horizon va nous offrir des possibilités nouvelles. Trump préfigure ces bouleversements.

Voir en ligne : http://borislelay.com/index.php/201...