Madame VDL présidente de la commission européenne, allemande qui parle anglais au nom de l’Europe, ferait bien de rabattre son caquet.

J’attends que cette dame et le président français demandent aux instances de justice internationales ou européennes une enquête sur les crimes de guerre en Algérie en juillet 1962.

On sait où se trouve le principal charnier, au lieu-dit le petit lac à Oran. Il y a encore des dizaines de familles qui ne savent pas ce que sont devenus leurs disparus, des centaines de personnes qu’une angoisse atroce étreint chaque jour en pensant à leurs disparus.

Mais le président de la France va en Algérie demander l’aumône d’un peu de gaz et semble ignorer qu’il y a des crimes de guerre impunis commis par l’Algérie. Il s’inquiète du sort de ces malheureux ukrainiens, mais des français, il les fait disparaître lui-même.

Les français l’ont élu, sachant qu’il a déclaré que les français d’Algérie étaient des criminels contre l’humanité, c’est pire que des criminels de guerre.

Chaque fois que je croise un français dans la rue ou ailleurs je me demande s’il ne va pas me demander de partir n’importe où, de me jeter à la mer, comme nous a jeté De Gaulle en 1962, pour laisser la place à ces pauvres immigrés algériens si nombreux en France.

Mais non, les impôts et tout ce que l’état français me ponctionne, le président français l’utilise pour fournir des armes à l’Ukraine alors que je voudrais qu’une petite partie de ce que je paye soit utilisée pour que des familles puissent faire le deuil de leurs disparus en sachant ce qu’ils sont devenus.

Qu’on ne me demande pas d’aumônes ou d’effort financier pour aider l’état, cet état que j’exècre et que je méprise.