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Macron s’est ridiculisé. Nous allons le payer !

, par  NEMO , popularité : 4%
NJ-Ile de France
Article publié le 31 mars 2023

Ou la vengeance du "petit c…"

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Je l’ai déjà écrit. Macron est un méchant, un vicieux, du genre gamin qui, à la récréation, dans la cour de l’école, donne par derrière un coup de pied à un grand et court se cacher dans les jupes de la maîtresse en pleurant qu’on veut lui faire bobo. Il nous fait le coup depuis qu’il a été, hélas, élu par des Français qui, quoiqu’ils en disent, n’ont aucune excuse, et surtout pas celle d’avoir voté « contre » la peste et le choléra et pas pour lui. Macron et « Qu’ils viennent me chercher » en parlant des juges, sachant qu’il est protégé par son statut de chef D’État, Macron et des rodomontades à la pelle mais entouré de gardes du corps, Macron et un hélicoptère prêt à décoller 24 heures sur 24 pour le mettre à l’abri d’éventuels émeutiers, Macron et un soutien indéfectible à l’Ukraine, sans nous demander notre avis, chef de guerre martial mais prêt à filer à la première alerte dans le bunker souterrain à l’abri des bombes atomiques de l’Élysée, Macron et des réformes qui mettent le pays à feu et à sang mais ce sont les forces chargées du maintien de l’ordre qu’il envoie au charbon, sans pour autant les soutenir en cas de pépin. Bref, le « c…..d » parfait, infatué de lui-même, immature, dont, surtout après Hollande, on n’aurait pas osé rêver pour présider aux destinées de notre pays anciennement phare du monde, aujourd’hui éclairé par les incendies de poubelles.

Macron est un méchant, je le répète, un tueur au petit pied, un magouilleur redoutable, la preuve, en donnant certes aux américains tous les gages qu’il fallait (n’oublions pas qu’il fait partie des Young leaders, qu’il leur a vendu Alstom, que ses campagnes ont été financées par McKinsey, Bill Gates et autres patrons de GAFAM), il est parvenu à la tête de la France, sans pour autant mettre un pistolet sur la tempe de ses électeurs. Fort avec les faibles, faible avec les forts, s’entourant d’ectoplasmes – un grand patron sélectionne des collaborateurs plus compétents que lui dans leur matière, un petit, comme macron, qui déteste l’ombre, ne peut que choisir des nains -, tout le contraire du chef qu’il se persuade d’être en le répétant à l’encan. « Je suis votre chef », se crut-il obligé de préciser lors de sa première et funeste investiture, déguisé lui-même en pilote de chasse, à des militaires qui avaient du mal à cacher leur hilarité.

Macron s’est définitivement ridiculisé avec sa prétendue réforme « fondamentale » de la retraite, avec les images faisant le tour du monde d’un Paris enseveli sous les ordures, et surtout, surtout, avec le report de la visite du roi d’Angleterre, le geignard Charles III, dont il s’était glorifié d’être le premier chef d’État à accueillir l’auguste monarque après son couronnement. Je ne suis pas persuadé que les Français, dans leur ensemble, mesurent ce qu’il a dû en coûter à Macron de devoir manger son chapeau, et le ressentiment, pour ne pas dire la haine qu’il éprouve envers la France et les Français. Lui, le meilleur entre les meilleurs, lui que nous ne méritons certainement pas, lui qui mérite certainement mieux que nous, au lieu de le vénérer à genoux, de le couvrir d’encens et de myrrhe, nous l’avons humilié. Il ne nous le pardonnera pas. Et il lui reste quatre ans pour se venger... en achevant le travail de destruction de la France et des Français... Il n’a d’ailleurs pas perdu de temps, en engageant ces jours-ci un peu plus la France dans le conflit Russie-Ukraine, en acceptant sans broncher le démantèlement de notre industrie automobile, en laissant céder (en catimini) à un consortium américain le Français Velan, fabricant de la robinetterie de nos sous-marins nucléaires ( compte tenu des lois d’extra-territorialité américaines, nous ne pourrons vendre des sous-marins à d’autres pays qu’avec la bénédiction du gouvernement US, même punition pour nos centrales nucléaires depuis la vente d’Alstom !), en passant un accord avec la Grande-Bretagne pour garder chez nous les migrants qui voudraient franchir le Channel (un comble) ! Et le pompon, le président que le monde entier nous envie, pour bien nous signifier qu’il nous emmerde, se fait accompagner d’Ursula Von Der Leyen dans sa visite d’État à la Chine. Le message est clair : je roule pour l’Europe, donc pour l’Allemagne, donc pour mes maîtres américains, et vous, Français, allez vous faire f… !

Et ce n’est qu’un début. Nous ne perdons rien pour attendre… A moins que…