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Macron : « Tu causes, tu causes… »

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

« Tu causes, tu causes, c’est tout ce que tu sais faire », aurait pu dire le perroquet de Zazie (Raymond Queneau) au chef de l’Etat. Six jours après sa conférence fleuve sur l’Europe, deux semaines avant ses vœux aux Français, Emmanuel Macron s’invite pour deux heures, ce mercredi soir, sur TF1 et LCI. La jactance est ce qui caractérise généralement les esprits tourmentés, qui peinent à expliquer en peu de mots des idées claires. Le président est de cette race qui s’étourdit du verbe. Il est incapable de concisions et de clarté au prétexte de défendre une pensée « complexe ». Lors de sa campagne, il invitait les Français à « penser printemps » dans un optimisme sur-joué. Cinq ans plus tard, son bilan n’est guère brillant. Les grandes réformes structurelles n’ont pas été menées (retraites, désendettement de l’Etat, lutte contre la désintégration culturelle, etc.) Mais il ne faut guère espérer ce soir de ce personnage satisfait qu’il reconnaisse ses manquements. Macron a au moins la constance comme qualité : il persiste à penser que la crise économique et sociale est au cœur du malaise français et que la consolidation de l’Europe souveraine et de ses frontières extérieures (Schengen) est l’horizon indépassable de sa politique prétendument construite sur la raison. Mais le « progressisme » macronien ne parle toujours pas aux gens ordinaires, inquiets pour la survie de la France.

Il faut s’attendre à ce que Macron se tresse ses lauriers sur sa politique sanitaire, qui reste effectivement approuvée par une majorité de sondés. Néanmoins les excès de l’idéologie hygiéniste, qui permettent à l’Etat de s’affirmer dans une autorité infantilisante, commencent à montrer leurs limites et leurs dangers pour les libertés. La religion vaccinale, qui voudrait que les enfants soient également soumis à la piqure, a du mal à accepter les faits : ils démontrent que les vaccins, s’ils semblent protéger les plus fragiles, ne bloquent ni les infections ni les contaminations. Ils pourraient même susciter l’apparition d’autres variants, forcés de s’adapter à leur environnement. A l’évidence, les vaccins n’enrayent pas l’épidémie. Or le fanatisme sanitaire est tel qu’il demeure risqué d’émettre des réserves sur ces vaccins et de s’inquiéter de leurs effets indésirables chez certains. Les médecins généralistes ne peuvent eux-mêmes, librement, décider de soigner leurs patients. Ayant été testé positif au Covid le 6 décembre (non vacciné), je me suis soigné à l’ivermectine et à l’azithromicine durant trois jours. Je n’ai subi aucun symptôme (sinon un rhume encore persistant). Mais le gouvernement a décidé le 13 décembre de restreindre l’usage de l’azithromicine ! Est-ce cette France sous son contrôle que veut Macron ? Ce monde anxiogène et abêtissant est à fuir.

Je respecte, depuis le 6 décembre, le confinement (10 jours) qui m’interdit de rejoindre les émissions de CNews. Ceci se termine jeudi. Retour vendredi.

Voir en ligne : https://blogrioufol.com/macron-tu-c...