Le Grand remplacement interroge aujourd’hui la France entière malgré que, selon certains politologues et essayistes de gauche et d’extrême gauche, il serait interdit ne serait-ce que d’en parler.

Voici les réflexions, sur ce même sujet d’actualité, de Sheri Berman, professeur à l’Université de Columbia, aux Etats-Unis : « La diversité est-elle compatible avec la démocratie ? ».

Selon cette politologue et essayiste qui a étudié la Suède depuis 1987, date à laquelle elle est arrivée pour la première fois dans ce pays scandinave afin d’effectuer une analyse sur le mouvement syndical, voici un extrait de ses réflexions, partagées sur le journal suédois « Svenska Dagladet » lors d’un récent salon du livre de Göteborg.

« L’évolution démographique que connaît la Suède est incroyable. Il s’agit-là d’une expérience d’une dimension historique. Aujourd’hui ce pays est radicalement différent.

L’évolution démographique que la Suède connaît ces dernières années est tout à fait incroyable et cette évolution risque d’être problématique.

Penser que ce genre de changement peut se produire sans aucun problème n’est pas réaliste.

Il s’agit d’une expérience démographique de dimension historique car cette diversité nouvelle peut saper l’homogénéité d’un pays.

Il ne fait aucun doute que plus une société est homogène, plus elle est calme.

Les communautés sont moins nombreuses et les relations sont plus étroites et il est plus facile de créer un sentiment de solidarité sociale. »

Ce problème, qui se pose actuellement en Suède, peut demain se poser à une grande partie de l’Europe et sont plus particulièrement sensibles à un tel danger des pays comme l’Italie, l’Espagne, la Grèce et bien entendu la France car l’Allemagne et la Belgique y sont déjà directement confrontées.

Ce n’est pas tant la main d’œuvre choisie et contrôlée qui est en cause mais le regroupement familial qui met en danger l’homogénéité d’une nation.

La main d’œuvre sélectionnée (les quotas) est un apport pour la croissance d’un pays, alors que la migration clandestine et incontrôlée apporte à ce même pays insécurité et a un coût insupportable.

Pour la France se coût est évalué à environ 30 milliards.

Une première solution urgente doit être mise en action : Expulser tous les clandestins objets d’une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) et cela en dépit des tous les recours et les appels à disposition et employés par tous les avocats spécialisés. Il est impératif de les supprimer : une OQTF = une expulsion immédiate.

Le regroupement familial doit être réservé uniquement à l’épouse et aux enfants du migrant en possession de son titre de séjour, d’un logement et d’un emploi.

Régulièrement sont enregistrées des agressions contre des policiers, des membres de la BAC blessés et même tués et cela par des groupes de voyous armés de Kalachnikov et d’armes de guerre. Il est impératif que le principe de « légitime défense » soit appliqué à nos forces de l’ordre. Le « Mélenchon » affirme « que la police tue » ! Il me semble qu’il serait souhaitable « qu’elle tue avant d’être tuée ».

Vous n’êtes pas le seul responsable, monsieur le ministre de l’Intérieur, d’autres ministres avant vous le sont également et, probablement, de nouveaux ministres le seront après vous, mais, malgré de forts belles envolées télévisées, il serait préférable que vous vous imposiez par des résultats positifs, passant outre les directives et les lois européennes…et même françaises « qui assassinent la France ».

Les gouvernements de la majorité des pays européens sont les premiers et principaux responsables de notre « envahissement » et de toutes les victimes de l’islamisme radical. Ils sont coupables de fermer les yeux, refusant de voir la guerre qui nous a été déclarée et de prendre les mesures pour la gagner car, pour le moment, nous la perdons !