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Les Traoré, une famille française exemplaire

, par  NEMO , popularité : 6%
NJ-Ile de France
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Non, je ne passerai pas par la figure de style obligatoire sur le drame que constitue toute mort ( il meurt chaque jour plus de 1600 personnes en France, et je ne sais combien de millions dans le monde, alors si on devait à chaque fois y aller de la larmichette compassionnelle, l’eau de tous les océans n’y suffirait pas...), avant de m’aventurer à émettre un commentaire qui ne sera pas, je le crains, tout à fait dans l’air du temps de la repentance.

Voilà : l’affaire Adama Traoré, qui dure depuis bientôt 4 ans, me sort positivement par les trous de nez. Que l’on offre une telle publicité à une famille de 17 enfants, d’un seul père pour 4 mères différentes, une « fratrie » qui est tout sauf exemplaire, qui terrorise sa cité, et qui vit essentiellement d’activités souterraines et de prestations sociales (merci les français racistes), ça dépasse toutes les abjections passées commises par le politiquement correct, Macron et son gouvernement en tête – sans doute au prochain conseil des ministre les verra-t-on tous s’agenouiller pendant 8’40’’, à l’imitation de leur ami Justin Trudeau -. Pendant qu’on y est, à quand la béatification du martyr ?

Que l’on fasse passer la police pour raciste parce que Jacques Toubon, le cacochyme défenseur des droits, qui va heureusement prendre bientôt une retraite bien imméritée, a affirmé qu’un noir avait 20 fois plus de chances d’être contrôlé qu’un blanc (tiens, tiens, je croyais qu’en France les statistiques ethniques étaient interdites), alors qu’à conditions égales,elle s’en prend à tout le monde de la même manière (j’en sais quelque chose, quand j’étais jeune, j’avais eu l’idée saugrenue de me payer un coupé Peugeot 306 avec mes premiers salaires, je ne vous dis pas le nombre de fois que je me suis fait contrôler. C’est même allé jusqu’à ce qu’un flic essaie de me coller un non respect imaginaire de feu rouge, heureusement démenti par un de ses collègues... et je ne suis ni noir, ni arabe, ni juif, ni jaune).

Tout à fait en passant, il se dit que deux des trois policiers mis en cause étaient antillais : y aurait-il alors un racisme systémique entre noirs des îles et noirs d’Afrique ? N’y aurait-il pas que les blancs qui seraient racistes ?

Bon, ne croyez pas que tout cela relève de la part des « manifestants pour la justice » d’une colère spontanée, d’une juste indignation ou de la volonté de construire un monde où nous nous tiendrions tous par la main dans une ronde fraternelle. Ce qui se passe, ce n’est pas une lutte universelle contre le « racisme », c’est une guerre qui se livre entre l’occident et le reste du monde. L’Europe a dominé le monde jusqu’au XIXe siècle, les Etats Unis d’Amérique au XXe. Aujourd’hui les asiatiques, les orientaux et les africains veulent prendre leur revanche. Les asiatiques, Chine et Inde en tête, dont la puissance militaire n’est pas (encore) à la hauteur de la nôtre (et puis l’arme nucléaire, quoi qu’on en dise, est un puissant dissuasif), ont choisi de nous attaquer au portefeuille ; en attendant mieux, ils nous livrent une guerre technologique et économique que nous sommes en train de perdre.

Les africains et les moyen-orientaux, eux, ne disposent ni de l’économie, ni de la technologie, ni de la puissance militaire pour nous faire plier. Mais ils ne sont pas les sous-développés intellectuels que les anti-racistes des beaux quartiers, authentiques idiots nuisibles, croient pouvoir manipuler. Ils ont su s’approprier une arme mille fois plus redoutable que la plus puissante des bombes nucléaires : le statut de victime. Forts de cette arme imparable, ils avancent, inexorablement. Ils nous envahissent, ils nous paralysent, ils nous repoussent peu à peu vers les périphéries, ils créent de plus en plus d’enclaves étrangères desquelles les nouveaux « indigènes » sont exclus, en d’autres termes, ils nous colonisent, en attendant de nous détruire. Nous, nous les avons sans doute colonisés à une époque, mais nous n’avions pas la haine, juste le sentiment de supériorité qui faisait penser aux Saint-Simoniens qu’il était du devoir de l’Occident d’apporter la civilisation aux races inférieures. Eux, ils n’ont pas le sentiment de supériorité, ils ont la haine pour ce que nous sommes, qu’ils ne sont pas et qu’ils ne seront jamais.

Notre seul espoir, s’il nous en reste un seul, et encore, minime, c’est que les asiatiques, qui n’ont pas de haine envers nous, préfèrent notre clientèle solvable à leur clientèle impécunieuse, et empêchent le génocide des blancs qui s’annonce.

P.S. Je n’éprouve aucun ressentiment envers les africains, les arabes ou les asiatiques. Je les comprends et je ne suis pas choqué par leur comportement. Ce qui me dégoute, c’est que nous, occidentaux, ayons décidé de nous prosterner, plutôt que de nous défendre.