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Le pouvoir n’entend pas le peuple inquiet

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Ceux qui menacent la France sont ceux qui la défendent. Ainsi raisonnent, cul par-dessus tête, les dirigeants d’un pays qu’ils ne comprennent plus. Leur hébétude fait courir un risque mortel à la nation. En juin 2018, Emmanuel Macron avait vu «  une lèpre qui monte  » dans les rangs des citoyens oubliés  : ils allaient devoir s’affubler, cinq mois plus tard, de gilets jaunes afin de se faire voir des puissants. Gérald Darmanin avait alors parlé de «  peste brune  », en insultant les plus malheureux de ses compatriotes. Cette fois, c’est aux «  vautours  » que s’en est pris, dimanche, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal. Il parlait là des braves gens qui font, d’évidence, le lien entre le terrorisme et l’immigration, après l’égorgement d’une fonctionnaire de police, vendredi au commissariat de Rambouillet (Yvelines), par un islamiste originaire de Tunisie. Pour sa part, le gouvernement a qualifié d’«  irresponsables  » et de «  factieux  » des généraux en retraite qui alertent, dans une tribune sur «  la France en péril  ».

Tous les ingrédients d’une colère populaire demeurent intacts. L’ordre sanitaire, imposé par la peur depuis plus d’un an, n’a réussi qu’à étouffer les protestations. Quand un pouvoir ne se résout pas à écouter la société, sinon en achetant son silence, il doit s’attendre à un réveil explosif. La macronie s’enferme dans l’absurde quand elle désigne, avec d’autres liquidateurs, les patriotes comme des dangers. Dimanche, place du Trocadéro à Paris, une foule révulsée par la banalisation du nouvel antisémitisme islamique s’est rassemblée pour réclamer «  Justice pour Sarah Halimi  » : la Cour de cassation avait estimé que son assassin, Kobili Traoré, n’avait aucun discernement au moment de son crime pourtant reconnu comme anti-juifs. Cependant, nombreuses sont les belles âmes, notamment chez les représentants de la communauté juive, qui persistent à voir du racisme chez qui récuse, au vu des désastres, la société ouverte et éclatée.

Les idéologues et leurs mensonges ont perdu devant l’histoire  : les faits leur donnent tort.

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