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Le mot du vaillant général Cambronne

, par  Bernard Antony , popularité : 4%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Non, nous n’entendons pas expier le fait d’être Français !

Nous n’en tirons certes aucun orgueil personnel mais de la fierté pour les pères qui nous ont transmis notre belle et grande patrie française.

Nous avons pour honneur de ne pas vouloir la laisser saccager, génocider, par des idéologues de la « déconstruction », autrement dit par des barbares voulant « faire du passé table rase ».

Notre patrie est comme l’épanouissement, depuis ses sources gauloises et autres, du grand fleuve gallo-romain, devenu le fleuve France, intégrant facilement d’heureux apports complémentaires dans un partage de foi et de valeurs.

Non, nous n’entendons pas expier le fait d’être des « blancs », pas plus d’ailleurs que devraient expier selon les forcenés des idéologies indigénistes » et « décoloniales » ceux de nos compatriotes issus des peuples d’Asie ou d’Afrique, fiers d’être Français. Comme le sont les héritiers de nombre de ceux qui ont apporté leur labeur à la France ou, plus encore, versé leur sang pour elle.

À tous les forcenés des idéologies de « l’antiracisme », de « l’indigénisme », de la « racisation », de la radicalité islamo-gauchiste, nous répondons par le mot du vaillant général Cambronne.

Nous sommes des hommes et des femmes, chacun selon notre sexe, complémentaire du sexe opposé comme disait le malicieux Georges Brassens, masculin ou féminin dans l’unité du couple humain. Nous n’éprouvons aucune aversion pour ceux des petites minorités affectives et sexuelles dont les particularités ne s’harmonisent pas avec la finalité générale de la complémentarité des deux principes, masculin et féminin.

Mais nous refusons la dictature que ces minorités entendent exercer de plus en plus dans certains milieux de la culture, de la politique, des medias, dans l’éducation nationale, voire dans certains clergés.

À ceux qui voudraient nous imposer un principe de soumission parce que nous sommes des hommes et des femmes, vraiment sans complexes d’infériorité pour cela, nous disons le mot du vaillant général Cambronne.

Et d’ailleurs, la vérité, c’est que l’immense majorité des femmes et des hommes, noirs, jaunes ou blancs, pense comme nous.

Aux activistes d’une féminocratie tout aussi insupportable que le « machisme », nous exprimons aussi notre absolue et joyeuse insoumission.

Aristophane en son temps a magnifiquement exprimé cela dans son allègre comédie « l’Assemblée des femmes ».

Nous n’entendons pas davantage respecter les prosélytes déjantés de l’idéologie dite du « genre » qui est en réalité la négation du genre humain.

Enfin, voici que les trois fondamentaux de la révolution culturelle américaine ont fait irruption dans nos medias, fusionnant désormais avec l’indigénisme et le décolonialisme d’Houria Bouteldja et de Saïd Bouamama, et de la gens Traoré.

Alors, aux divagations des bobos dingos adeptes chez nous de la « cancel culture », de l’idéologie « woke », et du slogan « Black lives matter », nous répliquons en rappelant que nous sommes en France, pays où le grand Alexandre Dumas, Français mulâtre, ne se sentait pas discriminé, et que l’immense majorité du bon peuple français, les blancs comme les autres, n’entend rien à des analyses absconses archéo-léninistes.

Ainsi, persistons-nous à penser que le mot de Cambronne se justifie à l’égard de tous les manieurs des mots américains de l’entreprise nihiliste de destruction de notre civilisation.

Voir en ligne : https://www.lagrif.fr/le-mot-du-vai...