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Lâchetés à tous les étages.

, par  NEMO , popularité : 6%
NJ-Ile de France

Les racailles attaquent en meute, de préférence des femmes ou des hommes seuls... et les « témoins » baissent les yeux.

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C’est toujours le même scénario : un « djeune » ou moins jeune provoque, insulte, nargue, harcèle un homme ou une femme – seul, toujours. La victime sélectionnée se rebiffe, ou bien un tiers s’interpose – crime insupportable de lèse racaille. Le djeune ou moins jeune ne se lance pas tout de suite dans une confrontation musclée qui pourrait tourner à son désavantage, on ne sait jamais sur qui on tombe (un membre du GIGN, par exemple, c’est arrivé récemment). Non, courageux mais pas téméraire, il entreprend un repli stratégique, et revient à l’attaque accompagné de sa bande dissimulée à proximité. Alors, c’est l’hallali. Mais pas n’importe comment : même quand nos « issus de milieux défavorisés » sont en supériorité numérique écrasante, c’est une crevure venue par derrière qui, d’après la plupart des témoignages, va donner le coup de pied de l’âne. Et pendant ce temps-là, les témoins, quand il y en a, ne voient rien, n’entendent rien, ne disent rien.

Quand les auteurs de ces « incivilités » sont arrêtés par la police et remis à la justice, ils se font au choix « rappeler à la loi », comme les « boxeurs » d’un maire qui leur demandait humblement, à 2 heures du matin, de faire moins de bruit, ou convoquer pour être jugés, comme récemment les agresseurs d’une infirmière dans un bus, au 23 juin 2021, oui, dans presque un an, autant dire aux calendes grecques. Dans tous les cas, ils ne font pas une heure de prison. La prison, Christiane Taubira l’a assez répété, n’est pas une solution pour les victimes racisées de la société blanche.

Et après ça, toute la bien-pensance de s’insurger contre non pas les criminels (c’est le terme adéquat que l’on évite soigneusement d’utiliser – ne me dites pas que lorsqu’on frappe à la tête quelqu’un avec un marteau ou qu’on s’en sert de ballon de football on veut juste chahuter un brin), mais contre la facho-sphère qui amalgame quelques voyous isolés à des communautés remplies d’amour mais désespérées.

Et après ça, tous les avocats de France et de Navarre, Dupont Moretti, notre garde des sceaux (des sauts, des sots, des seaux) en tête, vous expliqueront, péremptoires, que la loi française devient de plus en plus répressive, qu’elle s’assoit sur les droits de l’homme, que le sort des justiciables est pire qu’il n’était aux temps obscurs de la cage de fer, de l’estrapade et du supplice de l’eau.

Pauvre France ! Il ne se passe pas une semaine sans que sur un prétexte quelconque, un Floyd, un Traoré, un PSG, un djeune roulant à tombeau ouvert sur une moto volée, un confinement qui interdit les vacances au bled, des « manifestants » indignés et désœuvrés ne saccagent, ne s’en prennent à des flics qui ne doivent sous aucun prétexte répliquer ou même songer à se défendre. La police tue, parait-il. Ah bon ? Et qui, on pourrait avoir la liste des noms ?

Tout est à l’avenant. Tenez, pour changer de sujet sans changer de thème, Fourniret, ce monstre qui a inscrit à son palmarès au moins sept gamines violées et assassinées. Le gros suspens médiatique du moment est de savoir s’il va enfin daigner indiquer au juge d’instruction ce qu’il a fait du corps de la petite Estelle Mougin. S’il vous plait, monsieur Fourniret, vous feriez tellement plaisir aux parents, parlez, je vous en conjure. Bordel de merde ! Et si on se mettait à le secouer un peu, ce déchet d’humanité, au lieu de s’inquiéter de ses « droits », vous ne croyez pas que ça lui passerait le goût de se foutre du monde ?

Il faudrait plus d’éducation, plus de moyens, plus de compassion, plus de reconnaissance, plus de contrition, psalmodient les partisans de la soumission. Faute de quoi, nous sommes parait-il totalement impuissants devant cet « ensauvagement », par ailleurs si excusable qu’il ne faut pas en dire le nom, et surtout pas le réprimer. Hé bien je vais vous le dire : si lors de ces pseudo manifestations qui ne sont qu’une manière de nous faire la guerre, il restait quelques racailles sur le carreau, si, quand des djeunes s’attaquent à un fourgon de police, les policiers, au lieu de se terrer dans leur véhicule en priant pour qu’ils n’y mettent pas le feu, en sortaient, arme au poing, et se mettaient à tirer dans le tas, si on appliquait la seule loi qu’ils comprennent, la loi du talion, le problème de la « violence » serait vite réglé.

Mais pour cela, il nous faudrait des couilles, à tous les étages. Et il y a longtemps que nous n’en avons plus en stock. Par contre, nous avons des masques, du gel hydroalcoolique et du papier toilette. Ouf !