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La vérité sur l’exécution de Jamal Khashoggi.

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Qu’on arrête de nous mener en bateau autour de l’exécution du journaliste Jamal Khashoggi alors que tout le monde sait que ce n’est pas le journaliste qui a été assassiné, quelques soit la brutalité de ce massacre, mais un agent de déstabilisation islamiste.

Jamal Khashoggi était un islamiste très radicalisé, membres influent des Frères Musulmans, et il fut très proche d’Oussama Ben Laden.

A la fin des années 70, il soutenait la résistance afghane contre les soviétiques et c’est en Afghanistan qu’il devint un fidèle de Ben Laden.

Il était le neveu d’Ahmed Khashoggi, que j’ai eu l’occasion de rencontrer à Cannes alors qu’il venait d’acquérir « l’attico » qui appartenait à Pierre Canto, sur la Croisette, face au port. Il s’agissait d’un marchand d’armes très influent, cousin germain de Dodi Al Fayed, mort à Paris dans l’accident de voiture qui a coûté la vie à la princesse Diana.

Jamal Khashoggi a dirigé l’un des principaux quotidiens d’Arabie Saoudite « Al Watan » ainsi que, très brièvement, la chaîne de TV « Al Arab », il était alors l’homme de confiance du prince Al Waleed bin Talal et faisait partie des services secrets de son pays.

A la mort de Ben Laden, il écrivait : « Tu étais magnifique et plein de bravoure, aux beaux jours de l’Afghanistan, avant que tu succombes à la haine et à la passion ».

Très proche des factions islamistes combattants pour le djihad et toujours haut responsable des Frères Musulmans, une organisation, qui je le rappelle, est classée comme terroriste par l’Arabie Saoudite notamment, il a évité de gros problèmes parce qu’il était protégé par le prince Al Waleed.

Au sommet qui s’est tenu à Ryad, en mai 2017, il avait montré une grande hostilité à la prise du pouvoir par le prince héritier Mohamed Ben Salman et s’est enfui de son pays quand son protecteur, le prince Al Waleed bin Talal a été arrêté et sa fortune confisquée.

Il a rejoint alors les Etats-Unis et a été recruté par le « Washington Post », quotidien de gauche qui recueille certaines personnalités qui peuvent le servir politiquement.

Antisémite virulent, dans ce journal il a constamment manifesté son soutien à la cause palestinienne et au Hamas, qui, tout comme lui, fait partie intégrante des Frères Musulmans.

Impliqué dans des actions de déstabilisation de MBS, c’est sans doute ce qui a motivé son élimination.

En Turquie, pays proche également des Frères Musulmans, Khashoggi se sentait protégé et il s’y est rendu en toute confiance.

Bien entendu, Recep Erdogan a mis tout en place pour tirer le plus grand profit afin que cette exécution ait un retentissement international, puisqu’elle est bénéfique aux Frères Musulmans et hostile à MBS.

Il est parfaitement logique que les « Démocrates » américains et la gauche mondiale, tous pro-palestiniens et pro-Frères Musulmans, comme c’est le cas également pour l’Allemagne, l’Angleterre et la France, tout autant désireux de conserver de bonnes relations avec les Frères Musulmans et préserver le régime des mollahs.

Ces trois pays, tout comme la Turquie, la gauche internationale et les « Démocrates » des Etats-Unis, se moquent totalement de l’élimination du « journaliste » Khashoggi, leurs protestations vigoureuses sont dirigées vers le pays (que je n’apprécie pas du tout) mais qui a causé un profond malaise en décidant de retirer une pièce maîtresse de l’échiquier déstabilisateur du proche Orient.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2018/...