Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

La Macronerie, une dictature ? Même pas. Mais une imposture, ça, c’est sûr !

, par  NEMO , popularité : 5%
NJ-Ile de France

Je l’avais écrit bien avant son élection : Macron, c’est bidon. Et ce ne sont pas les presque cinq ans de sa présidence qui vont me faire changer d’avis.

JPEG - 32.6 ko

C’est vrai : tout sonne faux chez ce pitre qui joue au président, et que des Français, lobotomisés depuis quarante ans par les maîtres qu’ils se sont volontairement donnés contre la fausse assurance d’une vie tranquille, s’apprêtent hélas à réélire dans moins de 4 mois… si l’on en croit les sondages – un cauchemar qui durerait encore cinq ans. Non, pitié, tout (enfin pas tout, pas Pécresse), mais pas ça !

Il nous a tout fait, depuis son élection. Du mépris, des insultes, du en-même temps, du dénigrement de la France, de la repentance, couché devant les puissants, jupitérien avec les « Français », séraphique avec la racaille. Il aura, avec une grande désinvolture, détruit notre culture, fini de ruiner notre industrie, de désarmer notre Police, de déconsidérer notre Justice : il aura réduit à l’indigence notre système social, wokisé les entreprises publiques, encouragé le grand remplacement (qui serait un fantasme d’extrême-droite), rendu les Français paranoïaques et serviles, avili la fonction présidentielle, bafoué l’esprit de la Constitution. Avec Macron, la France a atteint un degré inédit d’abaissement  : un gouvernement d’ectoplasmes, insignifiant, inopérant, incompétent, et d’une arrogance sans limite ; une Assemblée Nationale d’automates ; un Conseil Constitutionnel et un Conseil d’État à la botte, des médias perroquets d’une AFP servile. Bref, Macron, c’est un pouvoir sans consistance, mais sans le moindre contre-pouvoir. Et des interrogations légitimes transformées en complotisme…

Vous pensez que j’exagère ? J’aimerais bien. Tenez, prenons un exemple, la gestion du Covid. C’est le titre de gloire dont Macron se pare. Il voudrait qu’on ne parle que de cela, puisqu’il estime avoir été le grand chef des armées qui combat victorieusement l’ennemi mortel… et que ça l’arrangerait bien qu’on évite de lui rappeler des choses désagréables, comme l’insécurité, l’école, l’immigration, l’affaire Alstom, tiens, tiens, Alstom, le scandale soigneusement étouffé qui le concerne au premier chef, ainsi que… Monsieur Pécresse, seul cadre d’Alstom à avoir retrouvé un boulot chez General Electric ! Et tant d’autres dossiers mis sous le tapis de la lutte contre le Covid.

La macronerie nous rabâche que la vaccination était et est toujours la seule solution, que le gouvernement a pris les seules mesures possibles, et on voudrait nous faire oublier qu’avant l’arrivée en fanfare du vaccin Pfizer, nos instances médicales avaient déjà promu un médicament, comme par hasard américain, le remdesivir, du laboratoire Gilead, dans lequel certaines d’entre elles auraient eu quelque intérêt sonnant et trébuchant. A l’époque, rappelez-vous, les médecins Français qui avaient proposé des traitements à base d’hydroxychloroquine, d’ivermectine, d’azithromycine, d’anti-coagulants, de vitamine D ou de zinc, avaient été immédiatement discrédités, moqués, interdits de séjour dans les médias, poursuivis par l’ordre des médecins. On a fait toutes les misères possibles à des sommités comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, mis d’office à la retraite ; le prix Nobel (excusez du peu) Luc Montagnier, lui-même, s’est vu traiter de gâteux pour avoir douté de l’origine naturelle du virus. Mon propre médecin m’a raconté qu’il a eu des tas de problèmes avec la Sécurité Sociale, dont des menaces, et un contrôle fiscal, pour avoir osé soigner (et guérir dans 100% des cas) des malades du Covid avec les produits « interdits » au lieu de les renvoyer chez eux avec un doliprane en attendant qu’ils finissent aux urgences… Mais se demander pourquoi le remdesivir, dont on s’est aperçu que non seulement il ne luttait en rien contre le Covid, mais qu’il était dangereux (et très cher), et pourquoi pas les autres médicaments, bon marché et sans danger, c’est être complotiste…

On nous dit aussi que la France a été le seul pays du Conseil de Sécurité de l’ONU qui n’a pas été capable de développer un vaccin contre le Covid, et qu’il a bien fallu se tourner vers les Américains. Vrai et faux à la fois : Sanofi a bel et bien développé deux vaccins, un traditionnel et un ARN. L’ARN a été abandonné pour n’avoir pas fait suffisamment ses preuves, ce qui est tout à l’honneur des chercheurs impliqués, sauf que les résultats du vaccin Sanofi, jugés insuffisants, se sont avérés à l’usage tout à fait équivalents à ceux, homologués, de Pfizer et Moderna. Sanofi a été honnête, Pfizer et Moderna ont manipulé leurs résultats, au point qu’on nous annonce une étude anglaise qui montrerait que leur vaccin serait inopérant après seulement 10 semaines ! Quant au vaccin « traditionnel » développé par Sanofi, il tarde à sortir, parce que bien qu’ayant montré une efficacité tout-à-fait correcte en dose de rappel, il n’atteindrait pas une immunité suffisante en première ou deuxième dose ! Qu’est-ce qu’on en a à faire dans un pays où 90% de la population concernée a déjà reçu 2 doses ?... Sinon qu’il y aurait quelque intérêt pour certains à privilégier l’américain Pfizer, que notre président (et accessoirement Ursula Von der Leyen, présidente de la commission européenne) connait de très près ? Encore une fois, se poser la question, c’est être complotiste, antivaccin, donc d’extrême-droite, donc indigne de la citoyenneté française.

Bon, toujours pour rester sur le Covid, réussite éblouissante du système Macron, je n’insisterai pas sur l’absurdité de faire porter le chapeau des centaines de milliers de contaminations aux seuls non-vaccinés qui empêcheraient de soigner le reste de la population, comme si l’hôpital avait attendu ces « irresponsables » pour être à l’agonie, de vouloir vacciner des enfants qui risquent plus du vaccin que du virus, de généraliser un passe sanitaire quand on sait que la « vaccination » n’empêche pas la transmission, etc…, la coupe est pleine.

Mais je le répète : toute cette gesticulation, cette virulence dans le refus de toute opinion divergente, cette propension à mettre en œuvre avec une brutalité inouïe des mesures absurdes qu’on avait juré, la main sur le cœur, de ne jamais imposer aux Français, est avant tout le signe de l’imposture d’un président qui ne sait pas utiliser le pouvoir exorbitant que des Français, pour le coup « irresponsables », ont eu l’imprudence (et la lâcheté) de lui accorder.