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LE BON SENS

, par  Suzanne de Beaumont , popularité : 6%
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LE BON SENS

Le communisme, j’ai essayé de bien comprendre cette idéologie qui me paressait si charitable, si humaine, si digne d’intérêt. Cependant j’ai du me résoudre à constater que son principe de base c’était « le nivellement par la base » pour que personne ne domine personne.

Mais pour moi la vie, c’est la progression incessante, vers la mort. Il faut arriver à la mort dès qu’on respire en dehors du ventre de sa mère. Il faut acquérir peu à peu tout ce qui va nous permettre de grandir, devenir un enfant, un ado, un adulte, un père ou une mère, s’insérer dans la société, travailler, vieillir et enfin mourir. On ne peut que, avancer, bien ou mal, mais avancer. Le nivellement par la base qui refuse toute évolution qui pourrait vous amener à dominer un voisin, me paraît mortifère.

Avant les communistes, les révolutionnaires français ont pratiqué l’élimination par la force la torture physique, tous ceux qui n’adhéraient pas à leur idéologie, tous ceux qui avait un rôle social ou une réputation, toutes les élites, dans des bains de sang, des noyades collectives propres à terroriser même les plus humbles. Ils ont établi la « TERREUR ». Ils ont tenté d’étendre ce régime à tous les pays voisins. Pour se justifier ils ont maquillé cette horreur de prétextes humanitaires. Ils ont réussi à faire croire au monde que « LA REVOLUTION FRANCAISE » était un exemple et un modèle à suivre par tous les peuples. Ils l’ont tellement écrit, répété, que les pauvres de tous les pays ont fini par croire que c’était leur avenir. Mais les peuples civilisés n’ont pas suivi.

Et voilà qu’un intellectuel, Marx, s’est saisi de toute cette littérature révolutionnaire et qu’il a théorisé le communisme.

En Russie Lénine s’est adossé à cette théorie pour imaginer libérer tous les pauvres paysans de leur assujettissement aux grands propriétaires terriens, les nobles. En cela il rejoignait les révolutionnaires français et devenait un espoir pour tous les malheureux. Comme la révolution française la révolution russe s’est convertie en terreur. La démolition, même matérielle, comme en France, la démolition des châteaux et des églises, s’est propagée dans toute la Russie, accompagnée bien sûr de l’assassinat des châtelains et des prêtres.

Cependant les luttes pour le pouvoir, comme en France avec l’exécution de Robespierre, ont pris le dessus sur toute autre notion. Staline, le Robespierre russe, s’est imposé par la terreur et les exécutions. Un écrivain russe déporté au goulag, le bagne russe dans des régions très froides a montré comment le communisme s’était matérialisé en une dictature terrible. Cette idéologie d’apparence séduisante, gangrène les esprits et empêche les gens de constater les effets délétères de cette idéologie.

Après la guerre de 39 45 l’Amérique est entrée dans une période d’expansion matérielle formidable basée sur un libéralisme économique fort et parfois cruel mais qui a permis au peuple américain d’atteindre des niveaux de vie optimum, tandis que la Russie, embourbée dans l’idéologie communiste, s’est enfoncé dans la pauvreté et la misère pour le peuple.

Cependant l’idéologie communiste continue à empoisonner le monde politique. Le communisme s’est arrangé des réseaux financiers incontournables, les syndicats financés par les états et non pas par les adhérents, les mutuelles de certaines catégories de travailleurs, éducation nationale, EDF, SNCF et d’autres. Ces réseaux donnent du travail et ainsi s’assurent un soutien politique. Le libéralisme n’a plus rien à voir avec l’existence de ces réseaux imperméables à tout élan personnel vers l’avant.

De nos jours cette idéologie se camoufle sous des appellations porteuses d’intérêt : le woke aux USA, l’émergence des LGBT , un féminisme absurde dans ses applications , plus de cour d’école où les petits garçons peuvent jouer au foot, cour remplacée par un espace herbeux, une écologie surdimensionnée qui se croit assez forte pour dominer la nature.

Il faudra bien, un jour, revenir au simple bon sens, qualité largement partagée par tous les hommes, excusez-moi, et les femmes, et les enfants, et les vieillards.

Lorsque les écoles enseigneront à nouveau à lire, écrire et compter, à utiliser sa propre expérience, à observer par soi-même et que les enfants resteront les pieds bien planté dans le sol où ils vivent et ne partiront plus dans des théories fumeuses qui leur brouillent la vue.

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Est-ce qu’un enfant de 6ans peut sérieusement refuser le sexe avec lequel il est né ? Il est si simple de lui dire : tu es né avec un sexe, c’est tangible, tu es un être humain qui a besoin d’apprendre à vivre. Quand il aura grandi, et commencer à ressentir la puissance des hormones sexuelles, il pourra réfléchir en fonction de tout ce qu’il aura appris. Ne faisons pas d’un problème qui doit rester personnel une question mondiale.