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L’idéologie dominante de la justice de France.

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

La démocratie ne peut pas s’appliquer pleinement dans un pays quand sa justice œuvre contre elle.

Or, c’est le cas en ce qui concerne la France.

Sa justice « marche sur la tête », elle est en dysfonctionnement total avec la gravité des évènements que nous vivons quotidiennement.

Elle n’est plus au service de la République mais au service d’une idéologie politique malsaine et quand « la justice fout le camp » ce sont toutes les valeurs républicaines qu’elle entraîne dans son sillage.

Quatre récentes décisions démontrent son « laisser aller » idéologique :

1/ La relaxe de l’ex présidente du Syndicat de la Magistrature, jugée pour injures publiques pour l’affaire du « Mur des cons », en 2013.

Ce « Mur des cons » où étaient épinglés des dizaines de personnalités, surtout de droite, et, ce qui était autrement plus outrancier, Philippe Schmitt, général de réserve et père d’Anne-Lorraine, tuée de 32 coups de couteau en 2007 dans le RER, par un récidiviste.

Sa colère et son indignation, après une telle décision, sont plus que compréhensibles et nous les partageons.

2/ Celui tout récent du profil de ce terroriste islamiste, fiché S, Chérif Chekatt, qui vient de tuer à Strasbourg.

Le porte parole du ministre de la justice, Youssef Badr, nous a rassuré sur Europe 1 : « Il n’y a pas eu de dysfonctionnement dans le suivi de ce délinquant ».

Alors que l’on veuille bien nous expliquer comment un individu de 29 ans, connu par les autorités pour 50 faits de braquages et de vols avec violences, condamné à 27 reprises depuis l’âge de 13 ans, (Cela est précisé par le secrétaire général du Syndicat des Commissaires de la Police Nationale) peut se trouver entièrement libre, bien que suivi par les Renseignements Généraux, sans même un bracelet électronique.

A quelles peines de prison ridicules avait-il été condamné ?

3/ La cour de cassation, toujours elle, a décidé, ce mercredi 12 décembre, d’annuler la peine de prison avec sursis infligée au « passeur » de migrants illégaux, Cédric Herrou.

On peut vraiment se poser la question sur l’idéologie qui domine ces magistrats car, il ne faut tout de même pas l’oublier, « apporter une aide au passage illégal de migrants est puni par nos lois, jusqu’à nouvel ordre.

Or, jusqu’à aujourd’hui, j’avais toujours supposé, à tort je le constate, que le rôle des magistrats était d’appliquer les lois de la République !

4/ La relaxe incompréhensible accordée à Saïdou, sa condamnation annulée en « Cassation », car la justice, enfin ce que l’on peut nommer la justice ! A considéré que ses « propos », aussi outranciers soient-ils, participaient à un débat d’intérêt général (Ahurissant ! On souhaiterait savoir lequel de débat ?).

Saïd Zouggagh et son complice Saïd Bouamama, soi-disant sociologue, avaient publié en 2010 un livre et un CD titrés « Nique la France ».

Ils étaient, paraît-il, motivés contre la création d’un « Ministère de l’identité nationale » :

« Ce que je pense de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau et de leur hymne à deux balles, je vais te faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment je me torche avec leur symbole écoeurant. »

Il s’agit-là d’un extrait de leur chanson.

Saïdou avait été condamné à la lourde peine de 1 euro de dommages et intérêts et les magistrats de la cour de cassation ont estimés que même cet euro unique était trop cher payé pour « insultes à nos valeurs, notre drapeau, notre hymne, notre identité, symboles pour lesquels sont morts des millions de citoyens français !

Ces magistrats ont estimés que ces propos « outranciers, injustes ou vulgaires » entendaient dénoncer le racisme de la société française, hérité de son passé colonialiste, et s’inscrivait dans le contexte d’un débat d’intérêt général et qu’ils n’excédaient pas les limites de la liberté d’expression.

Aussi, m’inspirant de ce verdict plus que complaisant, je vais me permettre d’écrire, puisque je ne sais pas chanter, que ces « cons » de magistrats, sont dénoncés dans le contexte d’un débat d’intérêt général et n’excédant pas ma liberté d’expression…comme ils disent !

Et pour conclure, en une sorte d’apothéose, la ministre de la justice, Nicole Belloubet, a décidé de « blanchir » le juge d’instruction antiterroriste qui, en avril dernier, avait permis à un dangereux terroriste, Oualid B., condamné le 29 novembre par la cour d’assises à 5 années de prison, de retrouver sa liberté à cause d’une erreur administrative de sa part.

Alors qu’une procédure disciplinaire allait être engagée contre lui.

Selon elle, il s’agissait bien sûr d’une négligence grave, mais c’était la première fois, donc il fallait se montrer indulgent.

La ministre de la justice a suivi ainsi les recommandations du Syndicat de la Magistrature (de gauche) qui attendait cette décision.

Nous attendons, nous, les réactions et les sanctions si, demain, Oualid B. décidait de s’activer et de passer à l’acte ?

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2018/...