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L’esclavagisme arabe, encore un mensonge des islamophobes !

, par  NEMO , popularité : 5%
NJ-Ile de France

Il ne fallait pas parler de l’esclavagisme arabe, disait Christiane Taubira, pour ne pas culpabiliser les jeunes d’origine maghrébine, qui souffrent déjà suffisamment eux-mêmes de racisme, d’islamophobie et de xénophobie, sans qu’on en rajoute une couche... Par contre permission de taper sur les Blancs, ils ont le dos large et la repentance facile, alors faut pas se gêner.

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La vidéo qui fait actuellement un tabac sur internet, il est certain que les belles âmes racisées, et leurs compères islamo-gauchistes domestiqués s’en seraient bien passé. Parce qu’est-ce que nous « montre » cet algérien qui vomit sa haine ? Que non seulement les arabes connaissent parfaitement la traite arabo-musulmane, mais - et c’est là le plus drôle de l’affaire, du moins si on se réfère aux déclarations compatissantes de Christiane Taubira (une noire, un comble !) pour ces pauvres arabes victimes du suprémacisme blanc -, que, loin d’en être accablés de remord, ils en sont fiers et ils s’en vantent. Ils se vantent d’avoir asservi des Noirs, de les avoir traités comme du bétail, pire, comme des légumes, de les avoir castrés, de s’être servi des femmes et des jeunes garçons noirs comme d’esclaves sexuels. Les propos de ce zigoto, dont on s’est bien gardé de nous révéler la genèse, qui est (pour ce que j’en sais) que le Noir s’est fait tabasser parce qu’il avait osé livrer des pizzas à un client près d’un restaurant tenu par des Algériens, exhalaient une haine et un mépris des Noirs qui n’augurent pas d’un avenir fraternel entre les communautés nord-africaines et sub-sahariennes, n’en déplaise aux Rokhaya Diallo, Assa Traoré, et autres Taha Bouhafs.

Comme prévu, nos élites pontifiantes en sont restées tétanisées. Comment a-t-on pu en arriver là ? Qu’est-ce que la « République » - vous remarquerez qu’aujourd’hui en France, on n’est plus Français, mais républicain, comme si « république » était une nationalité et Français une tare - a raté pour que des « Français » haïssent à ce point d’autres « Français » ? Sans doute n’a-t-on pas mis assez de « moyens » pour « accueillir », pour « intégrer » (mais attention ! intégrer, oui, mais en respectant les us et coutumes de « l’autre » qui sont une richesse pour nous)... Et il est vrai que nous n’avons rien fait pour ces Français d’importation, à part leur « donner », sans contrepartie, l’éducation, les soins, le logement, les allocations, pas de quoi nous dire merci.

Moi, ce qui me stupéfie, c’est que des gens qui sont censés gouverner la France, qui devraient être parfaitement informés de l’état réel des relations inter-ethnies, semblent découvrir que les Noirs et les Arabes ne peuvent pas se blairer. Qu’ils ne savent pas que pour un arabe, et l’algérien de la vidéo n’est pas à ce titre un mouton noir dans une congrégation de séraphins, un Noir vaut à peu près ce que vaut une vache, et encore... Jamais les Blancs esclavagistes n’ont poussé à ce point la cruauté envers leurs esclaves, soucieux qu’ils étaient ne serait-ce que de préserver leur capital de travail. Ce sont les Blancs, et eux seuls, qui ont fini par abolir l’esclavage, il est vrai quand les machines ont permis de remplacer les esclaves... Ce que les Arabes n’ont jamais fait, y compris pour de mauvaises raisons. L’esclavage n’a pas disparu dans le monde, et il est encore aujourd’hui l’apanage des Arabes, même si des ONG qui ne voudraient pour rien au monde se fâcher avec leurs commanditaires moyen-orientaux essaient de nous faire croire que c’est l’Asie qui détient le record du « travail forcé ».

Une consolation, pourtant, pour nous, pauvres Blancs accusés de tous les maux, et elle nous est apportée par Bernard Lugan, l’un des hommes au monde qui connait le mieux l’Afrique, et qui, pour cette raison, n’est jamais invité à donner une opinion qui sentirait le soufre : pour lui, il ne fait aucun doute que Arabes et Noirs se détestent trop pour maintenir encore longtemps leur alliance de circonstance contre les Blancs, qu’ils vont finir par s’entretuer, et plus vite qu’on ne le pense. Lui, dit-il, observera cela d’un œil amusé en buvant un vieux cognac et en fumant un bon havane. Moi, je ne fume plus, hélas, et je ne suis pas adepte du cognac. Mais une coupe de champagne, je ne dis pas non.

Note : au cas où l’information vous aurait échappé : Françoise Vergès, présidente du Comité National pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage, et contemptrice de la traite triangulaire, descend d’une famille qui, à l’abolition de l’esclavage, possédait 121 esclaves, pour la libération desquels elle avait été royalement indemnisée. The right woman at the right place, isn’t it ?