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L’Organisation Mondiale de la Santé préconise de fermer les yeux sur les épidémies à venir !

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Dans un récent article publié sur DREUZ.Info, j’écrivais : « Ne nous accusez pas de chercher à créer une psychose européenne, voir mondiale, mais bien au contraire, vous devez considérer qu’il s’agit d’une mise en garde préventive absolument nécessaire puisque les « contrôles sanitaires » officiels sont aujourd’hui contournés par une immigration illégale et incontrôlée.

Il est indéniable que les cas de tuberculose, de gale, de teigne et de prolifération des poux, se sont multipliés depuis quelques années et cela est constaté par les services officiels aussi bien en Italie, en Allemagne, en Espagne, en Suisse, en France, etc. le nier serait mentir aux populations.

Ces maladies infectieuses se propagent à grande vitesse, notamment la « gale », très contagieuse et impossible à éradiquer dans les conditions actuelles de haute promiscuité.

Le risque est autrement plus élevé en ce qui concerne des épidémies mortelles, tels la peste, le sida et les virus encore inconnus ou incontrôlables, tel celui baptisé « Ebola », qui refait son apparition notamment en République Démocratique du Congo où une centaine de cas viennent d’être signalés.

Si l’Afrique sub-Saharienne représente le plus grave danger, il est nécessaire de rappeler que de très nombreux migrants illégaux sont originaires de l’Afrique du Nord.

L’Algérie, par la voix de l’Institut Pasteur algérien, signale un nouveau démarrage de « choléra », plus d’une centaine de cas, ces derniers jours qui, déjà, affolent les services sanitaires du pays, si l’on en croit la presse nationale (Source : médias algériens).

Parmi ces dizaines de milliers de « migrants » qui débarquent sur nos côtes européennes et pour le plus grand nombre actuellement en Espagne, originaires justement du Maroc, de l’Algérie et de l’Afrique sub-Saharienne, sans aucun « cordon sanitaire », qui peut assurer que certains n’y introduisent pas l’un de ces maux, le sachant ou l’ignorant ?

Quel humain se supposant atteint par l’un de ces maux et promis à une mort certaine ne chercherait pas par tous les moyens à quitter son pays d’origine pour rejoindre un pays plus à même de le soigner, voir même de le guérir ?

Un « cordon sanitaire » devrait être installé dans tous les lieux de débarquement désignés de « migrants » illégaux.

Pour les milliers débarquant sur des plages et des côtes non surveillées, et donc non contrôlées, nous sommes à la merci de ce danger de contagion ! ».

Voici la déclaration d’un dermatologue nantais qui a reçu de très nombreux patients : « De vieilles maladies, qui appartenaient au passé, réapparaissent aujourd’hui via les migrants venue d’Afrique.

Des maladies qui se propagent en raison des conditions d’insalubrité.

On ne peut pas entasser des gens dans des conditions lamentables et s’étonner de voir réapparaître ces maladies.

On ne peut pas d’un côté vouloir davantage de vaccins et de vaccinations pour tout le monde et, en même temps, accepter par dizaines de milliers des personnes porteuses de ces maladies.

C’est se rendre complice des conséquences dramatiques qui pourraient arriver aux populations locales ».

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) préconise de « fermer les yeux » par militantisme et ne recommande plus le dépistage, qui est obligatoire, de ces maladies chez les migrants.

Il est prouvé qu’il existe un lien entre les migrations et l’importation des maladies infectieuses.

Bien que le risque qu’un virus comme « Ebola » soit importé reste minime, il existe tout de même.

D’après le Haut-Conseil pour la Santé publique, les cas de gale ont augmenté de 10%.

En ce qui concerne la tuberculose, Mayotte et la Guyane sont les points d’entrées principaux de ces maladies et, en Algérie, où une épidémie de choléra est constatée, le risque est important, sachant que des milliers d’Algériens partent en vacances au « Bled » puis reviennent en France.

L’augmentation des cas d’IST (Infections sexuellement transmissibles) et de MST (Maladies sexuellement transmissibles) inquiète les autorités sanitaires. Elles constatent le grand retour des infections à gonocoque (organes génitaux), qui ont triplé depuis 2012 : plus de 300.000 personnes, en majorité des jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans sont touchées. Cette maladie est la première cause d’infertilité.

En France métropolitaine, selon « PasseportSanté.net » de 1,4 à 1,6 % d’hommes et de femmes, entre 18 et 44 ans, sont atteints par cette IST.

L’augmentation de toutes ces maladies est constatée dans les lieux de concentration de migrants, alors qu’elles n’existent pas dans les autres régions non concernées.

En Allemagne, le RKI (Robert Koch Institut), organe officiel du contrôle de la santé, a publié un rapport au sujet de l’évolution progressive, ces dernières années, d’une cinquantaine de maladies infectieuses et cela à cause de la plus grande crise migratoire acceptée par Angela Merkel : + 300% d’Hépatite B, + 450% de rougeole, + 40% de cas de SIDA, + de 40% de tuberculose et + de 3000% de gale.

Il est donc admis officiellement que les maladies infectieuses ont augmenté considérablement à cause de l’immigration.

Même des maladies rares ou oubliées, et même inconnues des pays hôtes.

En Suisse, un rapport de la Revue Médicale Suisse a mis en évidence le développement inquiétant des maladies tropicales, des maladies infectieuses et des maladies parasitaires, souvent négligées, ainsi que l’augmentation des cas d’infections avec le VIH ou les hépatites B et C, particulièrement fréquentes chez les migrants.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2018/...