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G7 : sommet mondial de complotistes en Cornouailles

, par  Éric Verhaeghe , popularité : 3%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Le G7 s’est réuni pendant trois jours au pays de Galles, à Carbis Bay. Sous l’impulsion des États-Unis et de Joe Biden, ce sommet multilatéral a donné lieu à une esquisse d’union occidentale contre la Chine. L’une des conclusions du sommet consiste notamment à demander à la Chine de permettre une enquête approfondie sur l’origine du virus. Rappelons que, il y a un an, ces soupçons sur l’origine du virus étaient considérés comme complotistes (au point de valoir un bannissement de Facebook), et restent encore largement suspects pour les chiens de garde binaires d’officines comme l’Observatoire du complotisme.

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Le G7 s’est réuni au pays de Galles et a donné lieu au resserrement des rangs occidentaux, sous la conduite des États-Unis, face à la Chine . Les conclusions du sommet comportent en effet une adresse toute particulière à l’adresse de la puissance qui est absente d’une réunion où se retrouvent les USA, le Canada, le Japon, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France et l’Italie.

On notera tout particulièrement le volet « complotiste » des conclusions du Sommet : le G7 demande à la Chine d’autoriser une enquête approfondie sur les origines du virus, ce que la Chine refuse.

Le G7 soupçonne une origine humaine du virus

On retrouvera donc, dans les conclusions du sommet , un appel au respect des Droits de l’Homme dans la province ouïghoure du Xin Jiang, mais aussi la demande d’une enquête internationale sur les origines du virus.

On se souvient que cette thématique est devenue dominante depuis quelques semaines dans l’Amérique de Biden. D’ailleurs le Président a demandé une enquête de ses services sur le sujet, qui semblent divisés . On ajoutera que les soupçons ne cessent de monter quant aux expérimentations qui ont pu conduire à la création éventuelle de ce virus .

Une thèse interdite pour cause de complotisme

Faut-il rappeler qu’il y a quelques semaines encore, le seul fait de s’interroger sur la vraisemblance de la théorie selon laquelle une chauve-souris aurait mordu un pangolin qui aurait mordu un Chinois qui aurait contaminé la planète était passible de la pire accusation de complotisme ? Cet article du Monde du 8 avril 2020 donne un très beau florilège de la haine et des quolibets adressés par la presse subventionnée à tout esprit critique sur la thèse officielle.

L’une des techniques utilisée, la caricature systématique de toute opinion divergente, y est parfaitement dressée.

Mais on se souvient que Donald Trump et son entourage ont eux-mêmes été la cible d’attaques pour avoir évoqué la responsabilité chinoise dans l’apparition du virus .

À quoi sert l’anti-complotisme ?

Alors que le site de Rudy Reichstadt, auto-proclamé observateur de l’anti-complotisme, continue à combattre le débat sur les origines du virus , le moment vient de s’interroger sur la nature ou la finalité de l’accusation de complotisme, et sur les véritables finalités poursuivies par les anti-complotistes. S’agit-il vraiment de défendre la vérité ? Ou bien s’agit-il d’imposer des mensonges, d’occulter des vérités, pour servir tel ou tel intérêt (géo)-politique ?

On attend en tout cas avec impatience les articles de Conspiracy Watch dénonçant les thèses complotistes du G7.

L’article G7 : sommet mondial de complotistes en Cornouailles est apparu en premier sur Le courrier des stratèges .

Voir en ligne : https://lecourrierdesstrateges.fr/2...