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Espagne : Demain d’autres bateaux suivront...

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Le nouveau gouvernement espagnol, dirigé par le socialiste Pedro Sanchez, s’est proposé volontairement pour accueillir les 629 « migrants » de « L’Acquarius ». Il s’agit là du premier acte international des socialistes.

On peut considérer cette décision comme un geste humanitaire, si elle n’est pas une porte ouverte à l’immigration clandestine or, la nouvelle décision, prise par le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, de retirer tous les barbelés tranchants des clôtures qui limitaient les passages aux frontières avec le Maroc, à Ceuta et Melilla, laisse penser le contraire.

Déjà que ces passages étaient loin d’être hermétiques (l’arrivée des « migrants » clandestins s’est multiplié par quatre depuis 2013), ils vont, dès à présent, devenir permanents, par voies terrestres et, dorénavant, maritimes.

L’Espagne, jusqu’à aujourd’hui, avait été plus ou moins épargnée par l’invasion migratoire. Certes des milliers de marocains et de sub-sahariens stationnent en Andalousie, dans cette impressionnante « mer de plastique », pour le plus grand bénéfice des exploitants et dans des conditions humanitaires quelquefois déplorables et une rivalité croissante entre ces deux communautés qui ne s’apprécient guère, c’est le moins qu’on puisse dire.

Certes nombreux sont les algériens, de la région d’Oran en général, qui s’installent d’une manière tout à fait légale dans les provinces du sud (Andalousie, Murcie et Alicante), mais il est fortement à craindre que cette « nouvelle invasion » devienne très rapidement insupportable pour les espagnols et l’extrême droite, jusqu’à présent pratiquement « invisible », va trouver avec cette immigration une raison majeure de se positionner sur la scène politique, on ne tardera pas à s’en apercevoir !

Il est à craindre que, dorénavant, les embarcations en provenance d’Afrique, en collaboration constante avec les bateaux des ONG qui C’est déjç le casse donnent rendez-vous près des côtes (je n’irai pas jusqu’à dire « complices des passeurs ») pour limiter au maximum les disparitions en mer, prennent la direction des côtes espagnoles. (C’est déjà le cas pour les deux suivants, refusés par l’Italie !)

L’Espagne de Franco avait su recevoir entre trente et quarante mille « Pieds Noirs » lors de l’indépendance de l’Algérie et le général avait même dépêché deux navires de guerre pour « sauver » les derniers partisans de l’OAS, au grand dam de De Gaulle, mais il s’agissait alors de « catholiques » d’origines espagnoles qui se sont intégrés totalement, ce qui est loin d’être le cas de ces « nouveaux migrants ».

Recueillir les familles qui quittent les pays en guerre et demandent l’asile politique est une obligation internationale, mais accepter « toute la misère du monde », ces jeunes qui fuient leurs pays pour des raisons uniquement économiques, et qui ont découvert le « filon » des mineurs non accompagnés, devient un problème pour tous les gouvernements en place dans l’Union Européenne.

Tous les pays de l’Est, et à présent l’Italie, s’y opposent. Les gouvernements sont remplacés par la droite dure et ce sera le cas très bientôt pour Angela Merkel, menacée par les crimes, les assassinats et les viols qui se produisent quotidiennement en Allemagne, ce n’est qu’une question de quelques mois !

Que les socialistes, au pouvoir momentanément, prennent conscience que des élections auront lieu dans deux ans et que l’immigration sera probablement l’un des sujets à l’ordre du jour.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2018/...