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Du drame de Rambouillet à la tragédie du Jour d’après.

, par  vanneste , popularité : 3%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Les proclamations péremptoires des matamores qui nous “gouvernent” sont insupportables, et pourtant, à chaque attentat, à chaque éruption de violences dans les “quartiers”, à chaque nouvelle victime, les Français on droit au “nous ne céderons rien”, alors que depuis des années l’oligarchie qui règne dans notre prétendue démocratie cède tout, laisse entrer en masse des immigrés, les régularise à tour de bras, les naturalise à la chaîne, émascule tout discours de résistance, culpabilise et condamne toute affirmation identitaire des autochtones, des Français qui se sentent de moins en moins chez eux dans leur propre pays, la France, que certains n’appellent plus que “république” comme il y en a tant d’autres !

Un Tunisien installé en France depuis 2015, mais régularisé en 2019, et travaillant dans le bâtiment, manifestement islamiste aussi discret à l’extérieur que fanatique sur les réseaux sociaux, a assassiné une policière, mère de deux enfants, dans la ville “paisible” de Rambouillet au sein de ce département des Yvelines, celui où Samuel Paty avait été égorgé pour avoir osé parler de la liberté d’expression à ses élèves. Il ne semble pas que, cette fois, on puisse se réfugier dans la psychiatrie, au long cours, ou en bouffées imprévisibles, pour expliquer et atténuer l’événement. Celui-ci est d’une clarté fulgurante : il met en cause d’abord l’immigration, et en second lieu, la présence de l’islamisme dans notre pays. L’augmentation du nombre des policiers, si l’on accorde foi à ce bobard de campagne présidentielle déjà lancée, n’y fera rien. On constate qu’il y en a suffisamment pour contrôler l’application des règles sanitaires ou pour sévir contre des manifestations très légitimes en démocratie, mais qu’il en manque aux frontières ou dans ces centaines de quartiers qui s’allument les uns après les autres dans un vaste tour de France des lieux où policiers et pompiers sont désormais mal venus.

On ne peut pas demander à ceux qui détiennent actuellement le pouvoir d’aller à l’encontre de leur propre idéologie. Ils joueront leur rôle en condamnant, côté jardin, les conséquences de la politique qu’ils mettent en oeuvre, côté cour, parce qu’elle est selon eux inévitable. Une fois de plus, Philippe de Villiers a sonné le tocsin et expliqué le scénario du drame actuel, dans son dernier livre, “Le Jour d’Après”. Pour les mondialistes, les partisans d’une planète sans frontières, le covid est une fenêtre d’opportunité, car il contribue à l’individualisation. Faute d’avoir fermé le pays, on a enfermé ses habitants, favorisé le télétravail, et tué les activités de proximité et de convivialité, ces foyers au sein desquels la communauté se transmet et se régénère. Ce n’est pas par hasard que dans le même temps, nous viennent d’Amérique la Cancel Culture, le wokisme, le racialisme. Ce sont des armes destinées à priver les Français de leurs défenses immunitaires culturelles, en culpabilisant leur identité, en les forçant à désavouer une Histoire dont jusqu’à présent ils étaient fiers.

Lorsque celui qui “préside” aux destinées de la France ne parle que de “république” et va dire sur une télévision américaine que les Français doivent “déconstruire leur histoire”, il ouvre la voie à cette transformation de notre “patrie” construite en mille ans de travail et de luttes, appelée désormais à n’être plus qu’un terrain vague en forme d’hexagone, un quartier comme un autre du village planétaire, avec une population remplacée, de consommateurs où le coca-cola accompagnera la viande hallal, plutôt que le Pommard le boeuf bourguignon. Les incidents qui se produisent aux frontières du monde islamique et de ses antennes en terre mécréante ne sont que des résistances éphémères d’une culture plus difficile à digérer que les autres dans le meilleur des mondes selon Davos. Aussi ne faut-il pas trop s’en inquiéter, disent ceux qui vivent très loin de ces menaces. Il faut laisser les frontières ouvertes, les marchandises et les individus voyager, les virus et les vaccins, aussi, les capitaux enfin. Il suffira que le monde d’après, tout numérique, puisse suffisamment développer le contrôle des individus. C’est ce scénario qu’il faut enrayer ! Chaque drame comme celui de Rambouillet n’est qu’un élément d’une tragédie qu’il faut à tout prix arrêter.

Voir en ligne : https://www.christianvanneste.fr/20...