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Corona, si tu savais, ton vaccin où on s’le met... aucu, aucu, aucune hésitation !

, par  NEMO , popularité : 5%
NJ-Ile de France
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Moi, je veux bien qu’on me vaccine, mais avant de tendre mon bras à la piqûre honnie, j’aimerais bien savoir à quoi m’en tenir. Aussi, je vous propose de faire le bilan de ce que des téléspectateurs, lobotomisés comme moi par les infos en continu, et qui n’ont pas fait 10 ans de médecine, ont compris dans tout ce bloubi boulga d’affirmations définitives et de dénégations tout aussi péremptoires.

Aujourd’hui, si j’ai bien tout suivi, n’est disponible pour nous européens que le vaccin de Pfizer, qui présente l’énorme avantage non seulement d’avoir permis à ses dirigeants de fourguer leurs actions au plus haut, mais aussi d’être le premier opérationnel (si l’on excepte le chinois et le russe, qui eux ne peuvent être que mauvais), et pas le plus cher (c’est Moderna) mais presque. Ce vaccin a tout pour plaire aux amateurs d’usines à gaz : il se conserve à -80° Celsius, est livré en flacons de 5 doses, et il utilise une technique nouvelle, l’ARN messager, ne me demandez pas de vous expliquer, sauf que ça vient de sortir, qu’on ne meurt pas dans les minutes qui suivent l’injection (ouf), et que notre premier ministre, avec tout l’altruisme qu’on lui connait, passe son tour, pour ne pas priver une personne fragile de sa dose.

Je ne m’étendrai pas sur le principe de précaution, dont je rappellerai simplement qu’il a valeur constitutionnelle depuis le 1er mars 2005, sinon pour faire remarquer perfidement que c’est au nom de ce principe que la chloroquine a été un temps interdite par nos très précautionneuses instances de santé, et que c’est en jetant la constitution par-dessus les moulins que l’on autorise, que dis-je, que l’on veut imposer le « vaccin » Pfizer à toute la population.

Alors, n’en déplaise aux chasseurs de complotistes, il y a des questions que l’on est en droit de se poser :
Si je me fais vacciner, vais-je être totalement immunisé contre le covid ? Ou, comme il se dit, seulement contre des formes graves ? Est-il vrai que l’on peut être vacciné et quand même contaminer son entourage ? Si le vaccin ne fait que me protéger, moi (et encore, jusqu’à un certain point, et pas à coup sûr -il est donné comme efficace à 90%), et que je reste porteur et transmetteur du virus, quelle différence cela fait-il avec les milliers de cas positifs « asymptomatiques » répertoriés chaque jour par nos Cassandre catastrophistes ? Quelle est l’utilité réelle d’un vaccin qui ne tue pas le virus, n’empêche pas la contamination, et par conséquent la diffusion du virus ? Sinon pour les personnes à risque -surpoids, diabète, cancer, hypertension...- qui fournissent l’essentiel des décès dus au corona virus, et que l’on pourrait traiter spécifiquement, sans condamner l’humanité entière à s’emmurer ?

Bon, admettons que, citoyen modèle et obéissant, je me fasse vacciner ! Combien de temps serai-je protégé ? Trois mois, six mois, un an, on ne sait pas. Et pour quelle forme du virus ? On suppose, on espère que le vaccin fonctionne pour les formes mutantes, mais on n’est pas sûr. Et puis, s’il faut se revacciner dans quelques mois, ce qui semble le plus probable, avec quel vaccin ? C’est qu’entre temps, d’autres laboratoires auront mis au point d’autres types de vaccins. Sanofi, par exemple, travaille sur un vaccin traditionnel, sans manipulation de gènes, de cellules ou je ne sais quoi. Des vaccins classiques, mieux maîtrisés, qui ne subiront pas les contraintes logistiques du ¨Pfizer », et vont rendre ce dernier obsolète. Et s’il y avait un problème de compatibilité entre le vaccin à ARNm actuel et les prochains vaccins à souches de virus ?

Voyons maintenant les statistiques (à la louche) : les « cas » covid recensés chaque jour représentent à peu près 3% des tests effectués (3,5 millions de tests effectués la semaine avant Noël pour environ 100.000 cas détectés). Sur ces « cas », plus de 90% sont dits « asymptomatiques ». Les asymptomatiques ne requièrent aucun soin. Quand aux moins de 10% restants, la plupart sont traités par leur médecin, et les cas les plus graves (moins de 10% des 10% requérant des soins) par l’hôpital.

Si je suis une personne à comorbidité  : pas d’hésitation, je me fais vacciner. Qu’est-ce que je risque ? Entre mourir tout de suite du covid et espérer que le vaccin me protège, quitte à en subir dans x années des effets secondaires éventuels, et quand bien même le vaccin ne servirait à rien, le rapport bénéfice/risque est sans appel.
Au contraire, je ne présente pas de risque particulier et, tout bien pesé, je considère qu’il y a trop d’incertitudes autour de ce vaccin. Je ne me fais pas vacciner. Je risque de contaminer les autres ? Ni plus ni moins que les vaccinés du Pfizer, s’il se confirme que l’on peut être vacciné et contaminer. Je risque d’être contaminé ? Il y a 90% de chances, alors, que je sois asymptomatique, ce qui vaut bien les 90% d’efficacité claironnés par les vendeurs du vaccin Pfizer (tiens, tiens, ça ne vous parait pas bizarre, cette coïncidence ?).

Bref, et si au lieu de nous enjoindre de faire, de nous menacer, de nous « Orwelliser », de nous confiner, de nous « Netflixer », on nous laissait décider de notre vie ? Où est le problème si l’on ouvre bars, restaurants, cinémas, théâtres, salles de sport, stades, musées, facultés et j’en oublie ? Vous voulez être protégé quand vous fréquentez un lieu public ? Faites-vous vacciner. Vous ne voulez pas vous faire vacciner ? c’est vous que ça regarde. Vous ne risquez de contaminer que des gens qui, comme vous, n’ont pas voulu se faire vacciner. CQFD !

Et surtout, que l’on foute la paix aux jeunes !